“Sans la Global Champions League, je n’aurais jamais eu la possibilité de sauter des Grands Prix 5* cette année”, Inès Joly (1/3)
Inès Joly a peut-être une plastique de rêve et un sourire envoûtant, personne ne saurait la réduire à cela. La Française, lauréate du Grand Prix 5* de Monte-Carlo début juillet, de façon aussi surprenante que méritée, est une jeune femme ancrée dans son époque, déterminée à tracer sa route jusqu’au plus haut niveau. Rencontrée fin septembre au Morocco Royal Tour, où elle s’est de nouveau illustrée en s’imposant dans le Grand Prix du CSI 4*-W de Tétouan puis a terminé deuxième du CSIO 4*-W de Rabat, l’amazone de vingt-sept ans a répondu avec sincérité, profondeur, intelligence, et même un zeste d’humour à GRANDPRIX. De son engagement dans la décriée Global Champions League à son emménagement en Normandie, en passant par l’évolution de son partenaire de proue, Ambassador, et la terrible actualité, qui remet sur le devant de la scène les droits des femmes, la Rhônalpine n’a éludé aucune question.