“Au début, tout le monde s’inquiétait de notre investissement dans Ambassador”, Inès Joly (2/3)

Inès Joly, lauréate du Grand Prix 5* de Monte-Carlo début juillet, de façon aussi surprenante que méritée, est une jeune femme ancrée dans son époque, déterminée à tracer sa route jusqu’au plus haut niveau. Rencontrée fin septembre au Morocco Royal Tour, où elle s’est de nouveau illustrée en s’imposant dans le Grand Prix du CSI 4*-W de Tétouan puis a terminé deuxième du CSIO 4*-W de Rabat, l’amazone de vingt-sept ans a répondu avec sincérité, profondeur, intelligence, et un zeste d’humour à GRANDPRIX. De son engagement dans la décriée Global Champions League à son emménagement en Normandie, en passant par l’évolution de son partenaire de proue, Ambassador, et la terrible actualité, qui remet sur le devant de la scène les droits des femmes, la Rhônalpine n’a éludé aucune question.



La première partie est à lire ici.Il existe depuis de nombreuses années des débats sur la méritocratie, qui se sont notamment cristallisés autour du circuit de la Global Champions League qui permet à des cavaliers moins expérimentés de participer à des CSI 5*moyennant un engagement de cinq millions d’euros pour deux saisons par écurie. Vous y participez depuis 2024 au sein de l’équipe des Monaco Aces, aux côtés de Grégory Cottard et d’Edward Levy, entre autres. Quel est votre avis sur le sujet?C’est un sujet compliqué… D’un côté, je suis consciente qu’un excellent cavalier, qui travaille dur et investit beaucoup d’&eacu...

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX ABONNÉS

Abonnez-vous pour 6,99€ par mois sans engagement
  • Accédez à tous les contenus payants de GRANDPRIX.info en illimité
  • Soutenez une équipe de journalistes passionnés et une rédaction indépendante

Nouveau chez GRANDPRIX ? Créez votre compte GRANDPRIX

Mot de passe perdu ? Réinitialiser mon mot de passe

Retrouvez INES JOLY en vidéos sur
Retrouvez PEGASUS DEAU RE MI en vidéos sur