“Si les cavaliers ne sont plus récompensés lorsqu’ils sautent des Coupes des nations, ils n’y participeront plus”, Tim Gredley (2/2)

Extrêmement assidu en CSIO 5* en 2024, Tim Gredley y a obtenu beaucoup de succès. Très attaché aux concours et épreuves de tradition ainsi qu’aux grands championnats, le Britannique dit toute sa défiance quant à la diminution de l’importance accordée aux performances en Coupe des nations dans le calcul du classement mondial à partir de janvier 2025. Alors qu’il a tout récemment décidé d’installer ses meilleurs chevaux en France afin de ne plus leur imposer d’incessants allers-retours au Royaume-Uni, le cavalier évoque la situation des sports équestres en Grande-Bretagne avec optimisme, mais non sans pointer du doigt quelques entraves à la pleine réussite des athlètes d’outre-Manche.



La première partie de cet entretien est disponible iciEn 2024, vous avez participé à pas moins de sept CSIO 5*. Au-delà de la possibilité de marquer des points au classement mondial que ces concours vous offrent, d’autres raisons vous poussent-elles à les favoriser dans votre calendrier?Oui. J’adore représenter mon pays et durant toute la saison extérieure, mon objectif majeur est de produire des doubles sans-faute en Coupe des nations. Si j’arrive également à bien me classer dans les Grands Prix de ces concours, ce n’est que du bonus. J’ai l’impression qu’à l’heure actuelle, ma stratégie s’avère payante.Ici, au Jumping international de Saint-L&oc...

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