La FEI et ses parties prenantes tentent de remodeler le dressage, une discipline remise en cause (1/2)
Le 12 novembre, dans un contexte sous tension pour le dressage, entaché de multiples scandales ces derniers mois, l’assemblée générale de Fédération équestre internationale (FEI) a consacré un temps spécifiquement dédié à la discipline lors de la session portant sur le “plan stratégique pour le bien-être équin”. À Abou Dabi, Ronan Murphy, directeur du dressage, du para-dressage et de la voltige au sein de l’instance, est notamment revenu sur la rencontre des parties prenantes du sport, convoquées aux quartiers généraux de Lausanne, le 1er octobre. Ces mêmes acteurs du dressage s'étaient également réunis les 5 et 6 novembre, avant que les secrétaires généraux des Club des cavaliers (IDRC) et entraîneurs internationaux ne donnent une conférence de presse pour rendre compte des premières discussions. Semblant pleinement conscients des défis de la discipline, ses acteurs ont abordé différentes thématiques, telles que les langues bleues, le caractère obligatoire de la bride, des modifications réglementaires, et des propositions encore non soumises au vote.