“La France est dans une période d’adaptation financière. Pour autant, des solutions existent”, Sébastien Le Louarn, de SLL Finance
Loi de finances 2025 dont le vote est sans cesse repoussé, incertitudes politiques, morosité économique, chute de l’investissement… On ne peut y couper, les nouvelles ne sont pas au beau fixe dans l’Hexagone. Pour autant, ce n’est pas le moment de baisser les bras!
Mieux comprendre la situation économique actuelle
Si un Premier ministre a été tout fraîchement nommé, la situation gouvernementale n’est pas pour autant clarifiée sur tous les plans. Le 4 décembre dernier, le Sénat a ajourné ses travaux sur le projet de loi de finances pour 2025 à la suite de la motion de censure votée par les députés contre le gouvernement alors en place. Le 11 décembre, une loi spéciale – qui ne remplace pas la loi de finances 2025 – est déposée pour assurer une continuité de la vie nationale et le fonctionnement régulier des services publics jusqu’à l’adoption de la loi de finances susnommée.
“En résumé, la France bénéficie pour le moment de la continuité des lois qui régissent sa fiscalité. Je pense notamment à la tenue du pacte Dutreil, aux donations et au régime du report d’imposition”, introduit Sébastien Le Louarn, cavalier de niveau CSI3*et fondateur de la société de gestion de fortune, family-office et corporate-finance SLLfinance, basée en Normandie depuis quinze ans. “J’incite les intervenants à contacter leurs conseils pour faire un diagnostic complet de leurs patrimoines et mettre en place les préconisations qui conviennent”.
Un ralentissement des investissements, mais une ouverture possible vers l’international
Du reste, ces incertitudes budgétaires et leurs conséquences affecteront également la croissance française en 2025 et donc l’activité de la zone euro. Les effets défavorables sur la confiance des ménages et des entreprises viendront s’ajouter à ceux liés au ralentissement économique, à la faiblesse de la demande dans l’industrie et à la guerre commerciale qui se profile avec la Chine.
Dans ce contexte, il est donc probable que la Banque centrale européenne (BCE) soit amenée à aller un cran plus bas dans la baisse de ses taux directeurs. “Malgré tous ces tumultes, les actifs français n’ont pas été davantage chahutés. Ceci témoigne du fait que les investisseurs financiers avaient déjà pris en compte une bonne partie des conséquences de l’incertitude politique française”, poursuit Sébastien Le Louarn.
Jump Evolution, un fonds commun de placement investi dans le contexte économique mondial
SLLfinance, dans cet esprit de gestion patrimoniale à long terme des actifs financiers, est conseil d’un OPCVM nommé Jump Evolution (FR0013322435), qui affiche une performance nette au 11/12/2024 de 11,04% et dont la gestion est assurée par la société de gestion Zenith AM, agréée par l’AMF sous le numéro GP 11000028. Il s’agit d’un fonds commun de placement investi sur différentes classes d’actifs (actions, taux et crédit).
Sa gestion est flexible, c’est-à-dire qu’elle s’adapte à l’évolution de la conjoncture économique. “Le fonds tient aujourd’hui compte de ce contexte économique mondial, en privilégiant toujours les actions américaines, qui devraient encore bénéficier en 2025 d’une solide croissance de leurs bénéfices. C’est aussi l’occasion d’être positionné en dollar, qui est sur une tendance positive. Enfin, le retrait en termes de performances des actifs français permet au fonds de s’exposer à bon compte sur des entreprises de classe mondiale telles LVMH, Dassault Systèmes ou encore Cap Gemini, par exemple. Bien entendu, l’investissement Jump Evolution doit correspondre au profil de risque de l’investisseur. C’est également l’une des fonctions de SLLfinance, qui perçoit des honoraires de conseil et des commissions de distribution dont les modalités sont précisées dans le document remis lors de l’entrée en relation”, appuie en conclusion le fondateur de SLLfinance.
Contact :
SLLfinance, société de Sébastien Le Louarn.
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Le site web SLLfinance.