“Ludger Beerbaum m’a façonné en tant que sportif de haut niveau”, Christian Kukuk (2/2)

L’auteur-compositeur et interprète français William Sheller dirait de lui qu’il est “Un homme heureux”. Pour cause, tant il respire la joie, s’asseoir à une table avec Christian Kukuk revient presque à partager un moment avec le bonheur en personne. À trente-quatre ans, l’Allemand croule évidemment sous les bonnes raisons de sourire : il se prépare à accueillir son premier enfant, quelques mois seulement après avoir décroché le titre suprême grâce à Checker 47, celui de champion olympique individuel, le 6 août, à Versailles. Disciple de Ludger Beerbaum, celui qui arbore le cliché d’un coucher de soleil sur la Dame de fer comme fond d’écran de sa montre connectée, a évoqué en décembre, à Genève, la spirale dans laquelle l’or olympique l’a plongé. Il raconte aussi les nouveaux rêves qu’il espère atteindre, quel que soit le temps que ça prenne, quel que soit l’enjeu.



La première partie de cet entretient est à retrouver ici. Comment avez-vous vécu les jours et semaines qui ont suivi les Jeux de Paris ?C’était vraiment agréable, j’avais le sourire tous les jours en me réveillant ! (Rires) Je ne montais plus beaucoup à cheval tellement j’étais sollicité ailleurs. Parfois, je ne montais que deux fois par jour, mais c’était agréable ! J’ai essayé de tout gérer au mieux, et j’ai réussi à courir l’étape du Global Champions Tour de Londres deux semaines après, ce qui m’a demandé un peu de concentration. Je n’oublierai jamais cette période et j’aurai toujours un sour...

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