Don Juan de Hus, étoile filante du dressage français (1/2)

Lundi 8 août 2017, 09h00 : après une nuit passée en clinique vétérinaire, Don Juan de Hus s’éteint brutalement ; une disparition qui laisse évidemment sous le choc le haras de Hus, qui en est propriétaire, mais aussi l’univers du dressage français, qui fondait alors en lui de grands espoirs. Il faut dire que l’étalon KWPN, qui avait droit à tous les superlatifs, avait su, en quelques années seulement, gagner une cote de popularité, dont sa production semble avoir hérité. 



Né en 2008 chez J. M. Koopman, à une vingtaine de kilomètres d’Eindhoven, au sud des Pays-Bas, Diovannie, comme son éleveur l’avait originellement nommé, ne pouvait nier ses origines néerlandaises. Son pedigree réunit en effet le sang de deux étalons stars : Jazz (KWPN, Cocktail x Ulster), son père, et Krack C (KWPN, Flem­mingh x Beaujolais), père de sa mère. Ap­prouvé au stud-book KWPN en 1994, membre de l’équipe néerlandaise aux Jeux équestres mondiaux (JEM) de Jerez de la Frontera en 2002 avec Tineke Bartels, Jazz s’est illustré en tant qu’incroyable géniteur d’une kyrielle de chevaux de dressage vainqueurs au plus haut n...

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX ABONNÉS

Abonnez-vous pour 6,99€ par mois sans engagement
  • Accédez à tous les contenus payants de GRANDPRIX.info en illimité
  • Soutenez une équipe de journalistes passionnés et une rédaction indépendante

Nouveau chez GRANDPRIX ? Créez votre compte GRANDPRIX

Mot de passe perdu ? Réinitialiser mon mot de passe

Retrouvez DON JUAN DE HUS en vidéos sur