“Don Juan était un cheval pour gagner une médaille aux Jeux olympiques” Jessica Michel-Botton (2/2)

Lundi 8 août 2017, 09h00: après une nuit passée en clinique vétérinaire, Don Juan de Hus s’éteint brutalement; une disparition qui laisse évidemment sous le choc le haras de Hus, qui en est propriétaire, mais aussi l’univers du dressage français, qui fondait alors en lui de grands espoirs. Il faut dire que l’étalon KWPN, qui avait droit à tous les superlatifs, avait su, en quelques années seulement, gagner une cote de popularité, dont sa production semble avoir hérité.



La première partie de cet article est à retrouver, ici.Don Juan de Hus laisse donc derrière lui un haras et un large public de passionnés assommés. Si en 2017 son influence sur l’élevage se fait déjà sentir alors que ses premiers produits, nés en 2012, sont âgés de cinq ans seulement, c’est depuis un véritable raz de marée, à la hauteur des émotions qu’il a pu susciter. Dès ses toutes premières années de production, de nombreux fils étalons sont approuvés en France et en Allemagne. Parmi eux, on peut citer: Don Martillo (Han, d’une mère par Benetton Dream), champion d’Allemagne des quatre ans et champion du monde des...

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