“Je préfère présenter une équitation propre, quitte à fauter, plutôt qu’arracher un sans-faute”, Christopher Six (2/2)

Vainqueur du CCI 3*-L de Jardy avec Good Moussardière, Christopher Six refait parler de lui après une période plus discrète, marquée par la retraite de son fidèle Totem de Brecey (SF, Mylord Carthago x Quouglof Rouge), compagnon de sa médaille de bronze collective lors des Jeux olympiques de Tokyo, en 2021. Dans cette seconde partie, l’Yvelinois de trente-neuf ans fait le point sur l’évolution du concours complet, évoque son équitation, ses ambitions comme entraîneur, ou encore ses grands défis à venir.



“Pour pérenniser mon entreprise, j’ai dû me diversifier”

La première partie de cet entretien est en ligne ici. Quel regard portez-vous sur l’évolution récente du concours complet ? Comme dans tout système, il y a du bon et du moins bon. Le concours complet est une discipline exigeante et onéreuse, mais c’est le prix à payer pour rester à niveau. Les organisateurs doivent beaucoup investir pour maintenir le niveau et il faut parvenir à bâtir un système durable. Heureusement, la passion et la bonne volonté sont toujours là ! Les cavaliers doivent comprendre que l’économie du complet ne repose pas sur les concours. Aucun complétiste ne vit de ses gains en épreuve. Pour gagner sa vie, il faut vendre des chevaux, entra&i...

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