“J’ai envie de contribuer à faire évoluer notre sport et sa perception”, Philippe Léoni (2/2)

Philippe Léoni est un homme heureux. Retiré de la compétition depuis douze mois, l’homme d’affaires provençal est tout sauf un retraité oisif. À soixante-cinq ans, l’ancien complétiste et double finaliste de la Coupe du monde de saut d’obstacles est un père, un entrepreneur et un propriétaire (de chevaux de sport) épanoui. Depuis le printemps, il préside une nouvelle commission du haut niveau mise en place par Frédéric Bouix, président de la Fédération française d’équitation et qui a vocation à réfléchir de façon “libre et indépendante” à des problématiques concernant le grand sport et ses parties prenantes, à commencer par la crise des vocations parmi les propriétaires qui pourraient servir les équipes de France. À l’occasion du Jumping international de La Baule, Philippe Léoni a évoqué tous ces sujets avec la verve et la sincérité qui le caractérisent.



La première partie de cet entretien est à lire iciVous pensez aux problématiques liées au bien-être animal?Oui, bien sûr, parmi quelques autres. D’une manière générale, nous ne communiquons pas assez, alors que nous, cavaliers, propriétaires et/ou responsables d’écuries, accordons le plus grand soin à nos animaux, afin de garantir leur bien-être physique et mental. Si nous pratiquons ce sport, c’est d’abord parce que nous aimons les chevaux. En tout cas, ce n’est sûrement pas par volonté de leur faire du mal. Face à des mouvements animalistes, dont certains ont des postures extrêmement radicales et fondées sur aucune réalité ma...

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