“Je n’éprouve aucune envie de concourir plus souvent à haut niveau”, Jens Fredricson (2/2)

Alors qu’il faisait escale à Bruxelles pour l’Officiel de Belgique, Jens Fredricson signe les prémices de son retour parmi l’élite avec son inséparable Markan Cosmopolit. À l’heure où l’équipe de Suède, quasi intouchable de 2021 à 2023, semble avoir perdu un brin de sa superbe, le cavalier prépare déjà les Mondiaux d’Aix-la-Chapelle, qui se tiendront à l’été 2026. Champion du monde et d’Europe par équipes, le Suédois dresse l’état des lieux des troupes scandinaves, partage ses réflexions sur son propre retour au plus haut niveau et évoque le bien-être animal, pilier de sa philosophie.



La première partie de cet entretien est en ligne ici.Vous évoluez sur la scène internationale depuis longtemps, mais avez régulièrement fait des allers-retours entre le très haut niveau et les nationaux, en partie parce que vous pouvez souvent compter sur un seul très bon cheval de Grand Prix. Est-ce frustrant ? Non, cela ne me frustre pas. Ma carrière sportive n’est qu’une part de mon quotidien, peut-être vingt pour cent de mon travail. Mon véritable engagement réside dans la formation de cavaliers, une mission qui me demande énormément de temps et d’énergie. C’est sans doute la raison pour laquelle je n’ai jamais dirigé une grande écurie rempli...

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