Comment garantir des parcours justes et adaptés aux Mondiaux d’Aix-la-Chapelle?

Cet été, les CSIO 5* d’Aix-la-Chapelle et Calgary et les championnats d’Europe Longines de La Corogne ont donné lieu à des nombres anormaux de sans-faute dans leurs épreuves majeures. Au-delà des circonstances propres à chaque cas de figure, cela démontre à quel point le travail d’un chef de piste est complexe, sa réussite dépendant d’une somme de détails. Après des épreuves olympiques en tout point réussies l’an passé à Versailles, comment garantir que les championnats du monde d’Aix-la-Chapelle, qualificatifs pour les Jeux de Los Angeles 2028, offriront le même niveau de satisfaction aux acteurs, spectateurs et observateurs du saut d’obstacles?



Dieu que la fonction de chef de piste est ingrate! Après des épreuves olympiques de saut d’obstacles en tout point réussies l’an passé aux Jeux de Paris, en grande partie grâce au travail d’orfèvre accompli par Grégory Bodo et Santiago Varela Ullastres, l’été 2025 a été moins idyllique. Lors de trois événements majeurs, le très grand sport a été marqué par des parcours insatisfaisants au regard des résultats ou des images qu’il a donné à voir.Au CSIO 5* d’Aix-la-Chapelle, sommet mondial de la saison extérieure en cette année dénuée de championnats pour les Sud et Nord-Américains, le ...

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