“Monter à cheval est presque devenu la partie la plus facile de notre métier”, Harry Charles (1/3)

Faire un pas en arrière après avoir atteint le graal. Voilà ce qu’a fait Harry Charles après avoir été sacré par équipes aux Jeux olympiques de Paris à seulement vingt-cinq ans, l’été passé. Après une pause ressourçante, le Britannique s’est attaché à reformer une écurie digne de ses ambitions, sans oublier de savourer sa vie de jeune homme, ce qui l’a amené à dire “oui” à la cavalière et mannequin américaine Eve Jobs, il y a quelques semaines. Trente-quatrième cavalier du classement mondial, le sympathique fils de Peter Charles, lui-même couvert d’or olympique par équipes en 2012, évoque le tourbillon olympique et la décélération qui a suivi.



Avec quel objectif avez-vous été sélectionné pour la finale de la Ligue des nations Longines de Barcelone ? Je suis venu ici plusieurs fois (entretien réalisé le 3 octobre, ndlr), mais il s’agit de ma première grande Coupe des nations avec Sherlock (ex Novio vd Donkhoeve, ndlr) ce qui rend cette semaine particulièrement excitante pour notre écurie. Il n’a participé qu’à une seule Coupe des nations en 3* l’année dernière (le 17 mai à Kronenberg, où il a signé un double zéro, ndlr), mais ses résultats dans tous les Grands Prix cette année ont été exceptionnels (en dix Grands Prix courus, il est monté quatre fois...

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