“J’ai parfois besoin de prendre du recul, enlever mes œillères et regarder autour de moi”, Harry Charles (3/3)

Faire un pas en arrière après avoir atteint le graal. Voilà ce qu’a fait Harry Charles après avoir été sacré par équipes aux Jeux olympiques de Paris à seulement vingt-cinq ans, l’été passé. Après une pause ressourçante, le Britannique s’est attaché à reformer une écurie digne de ses ambitions, sans oublier de savourer sa vie de jeune homme, ce qui l’a amené à dire “oui” à la cavalière et mannequin américaine Eve Jobs, il y a quelques semaines. Trente-quatrième cavalier du classement mondial, le sympathique fils de Peter Charles, lui-même couvert d’or olympique par équipes en 2012, évoque dans cette troisième partie son association éphémère avec Zineday, la jalousie ambiante de Wellington, sa rencontre inédite avec Anna Wintour, ou encore son besoin de parfois changer d’air.



“Le Brexit n’a été bénéfique pour personne”

La première partie de cet entretien est en ligne ici.La deuxième partie de cet entretien est en ligne ici. Débuterez-vous à nouveau l’année au Winter Equestrian Festival (WEF) de Wellington, en Floride ? Pas cette année, nous irons cette fois à Doha. J’en ai beaucoup parlé avec Scott, qui m’a dit beaucoup de bien de son expérience lors de cette tournée. Au regard de l’année qu’il est en train de vivre, je pense qu’il y a de quoi s’inspirer (lauréat de plusieurs CSI 5*, dont l’étape du Grand Chelem Rolex de Calgary, l’Écossais a aussi décroché deux médailles d’argent aux Européens de La Corogne et ...

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