La Riders Masters Cup s’élargit à tout le continent américain
Pour sa cinquième édition, la Riders Masters Cup organisée dans le cadre du Longines Masters de Paris, évolue. Le 6 décembre, le format initié par EEM n’opposera plus seulement l’Europe aux États-Unis, mais le Vieux Continent à tout le continent américain.
Lancée en 2017 à l’initiative d’EEM, avec Longines pour partenaire fondateur, la Riders Masters Cup est une compétition unique. Présentée aux côtés de la EEF (Fédération équestre européenne), cette bataille opposait, jusqu’alors, deux puissances majeures du saut d’obstacles mondial : l’Europe et les États-Unis. Après quatre victoires européennes, les cartes sont rebattues en 2019, puisque la compétition opposera désormais l’Europe... au continent américain tout entier.
Forts de leur succès depuis la création du concept, les cavaliers européens qui étaient jusqu’alors menés par Philippe Guerdat n’ont qu’à bien se tenir ! Pour la première fois en décembre, l’ancien chef d’équipe des Bleus ne chapotera en effet plus les cavaliers du Vieux Continent, et sera remplacé dans ce rôle par le sélectionneur suédois, Henrik Ankarcrona.
Riders Masters Cup, mode d’emploi
La composition des équipes est confiée aux chefs de chacune des deux équipes : Robert Ridland, sélectionneur de l’équipe des États-Unis, pour le continent américain, et Henrik Ankarcrona, sélectionneur de l’équipe de Suède, pour l’Europe. Compétition spectaculaire et stratégique, la Riders Masters Cup oppose cinq cavaliers de chaque équipe, en deux manches, soit dix duels. La première manche se joue au barème A au chronomètre, sur un parcours de type Grand Prix. L’ordre de départ et la composition des duels sont décidés par tirage au sort. Chaque duel remporté sur cette première manche rapporte dix points à l’équipe. En seconde manche au barème C, la stratégie et les choix des chefs d’équipe sont primordiaux. Ils peuvent notamment, s’ils le souhaitent, permettre aux cavaliers de changer de monture, pour une autre davantage adaptée aux épreuves de vitesse. Le chef de l’équipe perdante de la première manche désigne le premier cavalier à partir ; l’équipe en tête a alors l’avantage de choisir l’adversaire qu’il opposera à ce premier cavalier. Le choix des deuxième, troisième, quatrième et cinquième cavaliers reviendra, de façon alternative, aux chefs de l’équipe gagnante et de l’équipe perdante. En seconde manche, chaque duel remporté rapporte vingt points.
Pour cette nouvelle édition de la Riders Masters Cup élargie, chaque équipe sera parrainée par un cavalier d’exception : Marcel Rozier, champion olympique par équipes avec la France en 1976, pour l’équipe européenne, ainsi que Nelson Pessoa, illustre vainqueur brésilien, pour le Vieux Continent.
L’Amérique pourra-t-elle renverser la vapeur et faire tomber l’Europe pour la première fois ? Rendez-vous le 6 décembre pour le savoir !
Forts de leur succès depuis la création du concept, les cavaliers européens qui étaient jusqu’alors menés par Philippe Guerdat n’ont qu’à bien se tenir ! Pour la première fois en décembre, l’ancien chef d’équipe des Bleus ne chapotera en effet plus les cavaliers du Vieux Continent, et sera remplacé dans ce rôle par le sélectionneur suédois, Henrik Ankarcrona.
Riders Masters Cup, mode d’emploi
La composition des équipes est confiée aux chefs de chacune des deux équipes : Robert Ridland, sélectionneur de l’équipe des États-Unis, pour le continent américain, et Henrik Ankarcrona, sélectionneur de l’équipe de Suède, pour l’Europe. Compétition spectaculaire et stratégique, la Riders Masters Cup oppose cinq cavaliers de chaque équipe, en deux manches, soit dix duels. La première manche se joue au barème A au chronomètre, sur un parcours de type Grand Prix. L’ordre de départ et la composition des duels sont décidés par tirage au sort. Chaque duel remporté sur cette première manche rapporte dix points à l’équipe. En seconde manche au barème C, la stratégie et les choix des chefs d’équipe sont primordiaux. Ils peuvent notamment, s’ils le souhaitent, permettre aux cavaliers de changer de monture, pour une autre davantage adaptée aux épreuves de vitesse. Le chef de l’équipe perdante de la première manche désigne le premier cavalier à partir ; l’équipe en tête a alors l’avantage de choisir l’adversaire qu’il opposera à ce premier cavalier. Le choix des deuxième, troisième, quatrième et cinquième cavaliers reviendra, de façon alternative, aux chefs de l’équipe gagnante et de l’équipe perdante. En seconde manche, chaque duel remporté rapporte vingt points.
Pour cette nouvelle édition de la Riders Masters Cup élargie, chaque équipe sera parrainée par un cavalier d’exception : Marcel Rozier, champion olympique par équipes avec la France en 1976, pour l’équipe européenne, ainsi que Nelson Pessoa, illustre vainqueur brésilien, pour le Vieux Continent.
L’Amérique pourra-t-elle renverser la vapeur et faire tomber l’Europe pour la première fois ? Rendez-vous le 6 décembre pour le savoir !