La France, meilleure nation du monde ?
Avec trois cavaliers dans le top dix mondial, la France pourrait apparaître comme la meilleure nation du monde en saut d'obstacles. Mais elle est tout de même confrontée à des poids lourds comme l'Allemagne, les Pays-Bas ou encore les États-Unis. Quelle place occupe donc l'Hexagone dans la hiérarchie mondiale ? GrandPrix-Replay a fait le calcul.
Grâce à Simon Delestre, numéro un mondial, Pénélope Leprevost, numéro quatre mondiale, et Kevin Staut, numéro neuf mondial, la France est plutôt bien représentée en haut de la hiérarchie mondiale. Mais est-elle le meilleur pays du saut d'obstacles au monde ?
Pour répondre à cette question, la rédaction a pris le classement des trente meilleurs cavaliers au monde en attribuant des points comme suit : trente points au premier, vingt-neuf point au deuxième, vingt-huit points au troisième, vingt-sept points au quatrième, etc. En cas d'égalité, le nombre de points correspondant au rang a été attribué à chaque cavalier.
Au terme du calcul, c'est finalement l'Allemagne qui apparaît en tête du classement. Si nos voisins d'outre-Rhin ne peuvent compter qu'un seul cavalier dans le top dix, Christian Ahlmann, deuxième mondial, c'est chez eux que l'on retrouve le plus de pilotes dans le top trente (six). Avec un total de quatre-vingt-dix-huit points, les Allemands mènent donc la danse mais de peu puisque les Tricolores, moins nombreux mais plus performants au classement mondial, les talonnent avec quatre-vingt-quinze points. Un joli total réalisé grâce à Simon Delestre, Pénélope Leprevost et Kevin Staut, mais également Patrice Delaveau, quinzième meilleur cavalier au monde. Sur la troisième marche du podium, les Américains, que l'on a tendance à oublier car ils évoluent en majorité sur leur continent, sont tout de même vingt points derrière l'Allemagne. On compte quatre cavaliers étasuniens dans le top trente.
Dans le reste du classement, on retrouve l'Irlande, qui peut remercier Bertram Allen et Denis Lynch, grâce à qui elle figure à la quatrième place, devant les Pays-Bas et la Belgique (deux cavaliers chacun). Avec un seul cavalier dans le top trente, Scott Brash, troisième, la Grande-Bretagne figure en septième place, devant la Suède (deux cavaliers), le Portugal (un cavalier), la Suisse (trois cavaliers), le Qatar (un cavalier) puis l'Australie et l'Italie (un cavalier).
D'une manière générale, ce calcul semble plutôt fiable. Ainsi, si l'Allemagne n'a pas de numéro un mondial, ses cavaliers sont bien souvent d'une redoutable efficacité. Les Tricolores, eux, sont à peine moins efficaces, tout en restant dans le coup. Les Américains ont quant à eux fait une saison hivernale dense, prenant notamment pas mal de points durant le Winter Equestrian Festival. Grâce à Bertram Allen, l'Irlande figure quant à elle très souvent au classement des plus beaux Grands Prix. S'ils répondent toujours présents dans les grands championnats, les Néerlandais sont quant à eux un peu moins réguliers le reste de la saison, tout comme les Belges.
Pour répondre à cette question, la rédaction a pris le classement des trente meilleurs cavaliers au monde en attribuant des points comme suit : trente points au premier, vingt-neuf point au deuxième, vingt-huit points au troisième, vingt-sept points au quatrième, etc. En cas d'égalité, le nombre de points correspondant au rang a été attribué à chaque cavalier.
Au terme du calcul, c'est finalement l'Allemagne qui apparaît en tête du classement. Si nos voisins d'outre-Rhin ne peuvent compter qu'un seul cavalier dans le top dix, Christian Ahlmann, deuxième mondial, c'est chez eux que l'on retrouve le plus de pilotes dans le top trente (six). Avec un total de quatre-vingt-dix-huit points, les Allemands mènent donc la danse mais de peu puisque les Tricolores, moins nombreux mais plus performants au classement mondial, les talonnent avec quatre-vingt-quinze points. Un joli total réalisé grâce à Simon Delestre, Pénélope Leprevost et Kevin Staut, mais également Patrice Delaveau, quinzième meilleur cavalier au monde. Sur la troisième marche du podium, les Américains, que l'on a tendance à oublier car ils évoluent en majorité sur leur continent, sont tout de même vingt points derrière l'Allemagne. On compte quatre cavaliers étasuniens dans le top trente.
Dans le reste du classement, on retrouve l'Irlande, qui peut remercier Bertram Allen et Denis Lynch, grâce à qui elle figure à la quatrième place, devant les Pays-Bas et la Belgique (deux cavaliers chacun). Avec un seul cavalier dans le top trente, Scott Brash, troisième, la Grande-Bretagne figure en septième place, devant la Suède (deux cavaliers), le Portugal (un cavalier), la Suisse (trois cavaliers), le Qatar (un cavalier) puis l'Australie et l'Italie (un cavalier).
D'une manière générale, ce calcul semble plutôt fiable. Ainsi, si l'Allemagne n'a pas de numéro un mondial, ses cavaliers sont bien souvent d'une redoutable efficacité. Les Tricolores, eux, sont à peine moins efficaces, tout en restant dans le coup. Les Américains ont quant à eux fait une saison hivernale dense, prenant notamment pas mal de points durant le Winter Equestrian Festival. Grâce à Bertram Allen, l'Irlande figure quant à elle très souvent au classement des plus beaux Grands Prix. S'ils répondent toujours présents dans les grands championnats, les Néerlandais sont quant à eux un peu moins réguliers le reste de la saison, tout comme les Belges.