’’Je me réjouis de cette dernière manche !’’, Steve Guerdat
Leader au classement général, Steve Guerdat est très en forme ce week-end et semble intouchable avec Corbinian. Alors qu’il remet son titre en jeu cet après-midi, le Jurassien aura la lourde tâche de partir en dernière position, avec le seul score vierge de cette finale. À quelques heures des deux ultimes parcours, celui qui s’imposait déjà l’an passé avec Albführen’s Paille de la Roque aborde ce dernier jour de championnat sans stress et a bien voulu faire le point avec GrandPrix-Replay.
GrandPrix-Replay : Quatrième de la Chasse vendredi puis quatrième de la deuxième manche samedi, Corbinian semble très en forme et surtout à l’aise ici. Est-ce votre sentiment ?
Steve Guerdat : Corbinian est bien ici. J’en suis très heureux car je me posais beaucoup de questions avant la finale, dont je n’avais pas la réponse. Je savais que Corbinian en était capable et qu’il avait les moyens pour sauter cette finale, mais nous nous cherchons encore un peu tous les deux. Mais le Grand Prix Coupe du monde de Londres s’est tellement bien passé, que c’est à ce moment que j’ai décidé de miser sur lui pour la finale. Depuis, j’ai essayé de le préparer au mieux.
Ici, il a extrêmement bien sauté les deux premiers jours et je suis très content de la façon dont il s’est comporté. Tout à l’air de bien fonctionner : Corbinian saute bien et moi je prends du plaisir. Je suis heureux de participer à un championnat avec un nouveau cheval et de me trouver si bien classé. Si nous n’avons fait que la moitié du chemin, cela me fait déjà très plaisir d’en être là !
GPR : Quel regard portez-vous sur les parcours proposés durant ces deux premières manches ?
S. G. : Santiago Varela est un fantastique chef de piste qui ne va jamais chercher dans les limites des chevaux. Les parcours de finales Coupe du monde sont difficiles à construire car il n’y a pas que des cavaliers habitués à monter des épreuves de cette hauteur-là. De plus, dans une épreuve comme la deuxième manche, il ne faut pas trop de sans-faute. Et puis le format de la finale Coupe du monde est assez spécial, ce qui rend les parcours encore plus difficiles à construire. Les deux premiers jours, Santiago a réussi à poser les bonnes questions aux cavaliers sans jamais mettre les chevaux dans le rouge et c’est ce que nous aimons pour notre sport.
GPR : Quel a été le programme de Corbinian hier ?
S. G.. : Corbinian est un cheval assez tendu musculairement, je l’ai donc relaxé avec beaucoup de pas et de trot. Il n’a pas l’habitude de sauter deux grosses épreuves à la suite, du coup il n’a pas eu le travail de condition de d’habitude.
GPR : L’an passé, vous vous imposiez avec Albführen’s Paille de la Roque, blessée cette année. Comment va-t-elle ?
S. G. : Elle est toujours en Normandie, où elle profite des prés et de la mer. Elle devrait y rester encore un ou deux mois. Elle devrait être prête pour la saison Coupe du monde 2016/2017. Je ne veux pas essayer de forcer les choses en lui faisant faire la saison extérieure, je ne suis pas sûr que ce soit la chose la plus intelligente à faire. Je préfère lui laisser du temps et la retrouver au meilleur d’elle-même pour la saison prochaine.
GPR : Dans quel état d’esprit abordez-vous cette ultime manche, alors que vous êtes à la fois leader au classement général et tenant du titre ?
S. G. : Je me réjouis de la dernière manche ! Corbinian saute bien, aujourd’hui ce n’est que du bonus. Je ne me sens pas particulièrement sous pression. Mon cheval est prêt à affronter ce championnat, ce qui est le plus important pour moi. Pour le reste, je pense qu’il y a des couples plus aguerris mais je vais me concentrer sur mes tours. Si j’arrive à faire deux sans-faute, je devrais être bien placé ! (rires)
C’est déjà magnifique d’avoir gagné cette finale une fois, cela m’a fait tellement plaisir. Maintenant, je suis motivé pour cette nouvelle finale et nous verrons bien.
Steve Guerdat : Corbinian est bien ici. J’en suis très heureux car je me posais beaucoup de questions avant la finale, dont je n’avais pas la réponse. Je savais que Corbinian en était capable et qu’il avait les moyens pour sauter cette finale, mais nous nous cherchons encore un peu tous les deux. Mais le Grand Prix Coupe du monde de Londres s’est tellement bien passé, que c’est à ce moment que j’ai décidé de miser sur lui pour la finale. Depuis, j’ai essayé de le préparer au mieux.
Ici, il a extrêmement bien sauté les deux premiers jours et je suis très content de la façon dont il s’est comporté. Tout à l’air de bien fonctionner : Corbinian saute bien et moi je prends du plaisir. Je suis heureux de participer à un championnat avec un nouveau cheval et de me trouver si bien classé. Si nous n’avons fait que la moitié du chemin, cela me fait déjà très plaisir d’en être là !
GPR : Quel regard portez-vous sur les parcours proposés durant ces deux premières manches ?
S. G. : Santiago Varela est un fantastique chef de piste qui ne va jamais chercher dans les limites des chevaux. Les parcours de finales Coupe du monde sont difficiles à construire car il n’y a pas que des cavaliers habitués à monter des épreuves de cette hauteur-là. De plus, dans une épreuve comme la deuxième manche, il ne faut pas trop de sans-faute. Et puis le format de la finale Coupe du monde est assez spécial, ce qui rend les parcours encore plus difficiles à construire. Les deux premiers jours, Santiago a réussi à poser les bonnes questions aux cavaliers sans jamais mettre les chevaux dans le rouge et c’est ce que nous aimons pour notre sport.
GPR : Quel a été le programme de Corbinian hier ?
S. G.. : Corbinian est un cheval assez tendu musculairement, je l’ai donc relaxé avec beaucoup de pas et de trot. Il n’a pas l’habitude de sauter deux grosses épreuves à la suite, du coup il n’a pas eu le travail de condition de d’habitude.
GPR : L’an passé, vous vous imposiez avec Albführen’s Paille de la Roque, blessée cette année. Comment va-t-elle ?
S. G. : Elle est toujours en Normandie, où elle profite des prés et de la mer. Elle devrait y rester encore un ou deux mois. Elle devrait être prête pour la saison Coupe du monde 2016/2017. Je ne veux pas essayer de forcer les choses en lui faisant faire la saison extérieure, je ne suis pas sûr que ce soit la chose la plus intelligente à faire. Je préfère lui laisser du temps et la retrouver au meilleur d’elle-même pour la saison prochaine.
GPR : Dans quel état d’esprit abordez-vous cette ultime manche, alors que vous êtes à la fois leader au classement général et tenant du titre ?
S. G. : Je me réjouis de la dernière manche ! Corbinian saute bien, aujourd’hui ce n’est que du bonus. Je ne me sens pas particulièrement sous pression. Mon cheval est prêt à affronter ce championnat, ce qui est le plus important pour moi. Pour le reste, je pense qu’il y a des couples plus aguerris mais je vais me concentrer sur mes tours. Si j’arrive à faire deux sans-faute, je devrais être bien placé ! (rires)
C’est déjà magnifique d’avoir gagné cette finale une fois, cela m’a fait tellement plaisir. Maintenant, je suis motivé pour cette nouvelle finale et nous verrons bien.