’’Nous n'allons pas rester là à pleurer’’, Philippe Guerdat
Voici la réaction de Philippe Guerdat, sélectionneur national français à l’issue de la deuxième manche de la finale Coupe du monde :
’’Certes, nous avons reculé mais rien n’est perdu. Nous avons toujours une chance de podium pour Pénélope Leprevost et Simon Delestre. Tous les deux auront à cœur de se venger demain ! Rien n’est perdu, même pour la victoire car, en finale de Coupe du monde, les cartes sont sans cesse redistribuées. Il reste encore deux gros parcours à sauter et j’ai bon espoir.
Patrice Delaveau et Kevin Staut sont un peu plus loin, mais ils peuvent encore remonter. For Joy van’t Zorgvliet*HDC, le cheval de Kevin, manque encore un peu d’expérience, il a fait les mêmes fautes les deux jours. Pour Lacrimoso 3*HDC, c’est une petite déception. Je n’ai vu le parcours qu’à la télévision mais un appareil photo l’aurait effrayé. Nous sommes déçus, mais il n’y a pas eu de catastrophe.
Le parcours de cette deuxième manche était très bien construit et très juste, comme nous en avons l’habitude avec Santiago Varela Ullastres. Sept sans-faute et pas de gros crash pour une finale de Coupe du monde, c’est l’idéal.
Maintenant, nous allons redresser la tête. Un podium voire une victoire est encore possible. Pénélope et Simon ne sont qu’à cinq points, soit un peu plus d’une barre, et il reste encore deux grosses manches à sauter. Mes cavaliers sont des compétiteurs, ils ne vont pas rester là à pleurer et ils vont donner tout ce qu’ils ont lundi.’
Patrice Delaveau et Kevin Staut sont un peu plus loin, mais ils peuvent encore remonter. For Joy van’t Zorgvliet*HDC, le cheval de Kevin, manque encore un peu d’expérience, il a fait les mêmes fautes les deux jours. Pour Lacrimoso 3*HDC, c’est une petite déception. Je n’ai vu le parcours qu’à la télévision mais un appareil photo l’aurait effrayé. Nous sommes déçus, mais il n’y a pas eu de catastrophe.
Le parcours de cette deuxième manche était très bien construit et très juste, comme nous en avons l’habitude avec Santiago Varela Ullastres. Sept sans-faute et pas de gros crash pour une finale de Coupe du monde, c’est l’idéal.
Maintenant, nous allons redresser la tête. Un podium voire une victoire est encore possible. Pénélope et Simon ne sont qu’à cinq points, soit un peu plus d’une barre, et il reste encore deux grosses manches à sauter. Mes cavaliers sont des compétiteurs, ils ne vont pas rester là à pleurer et ils vont donner tout ce qu’ils ont lundi.’