Gre´gory Bodo, nouveau chef de piste du Longines Masters de Paris
Pour la première fois de son histoire, le Longines Masters de Paris sera orchestré par un chef de piste français, du 5 au 8 décembre au parc des expositions de Paris-Villepinte. EEM, la société belge organisatrice de l’événement, a logiquement choisi le Lorrain Grégory Bodo, de plus en plus demandé et salué, et qui avait déjà officié avec succès au Longines Masters de Lausanne en juin.
Déjà aux manettes des CSI 5* de Longines Equita Lyon, du Saut Hermès au Grand Palais, du Longines Paris Eiffel Jumping, du Jumping de Cannes et du Longines Masters de Lausanne, mais aussi des CSI 4* de Rouen, Valence, Bourg-en-Bresse et Grimaud (l’un des neuf organisés cette année!) ou encore des CSI 3* de Canteleu, Valence, Megève et du Longines Deauville Classic, Grégory Bodo sera aussi cette année le chef de piste du Longines Masters de Paris, programmé du 5 au 8 décembre au parc des expositions de Paris-Villepinte. Un “immense honneur” et un “signe de reconnaissance” pour celui qui a su imposer, en trois ans seulement, son nom et une vision résolument moderne et respectueuse de ce que doit être un parcours de saut d’obstacles.
“En juin, mon premier contact avec la se´rie des Longines Masters m’a permis de mieux comprendre l’ADN et la finalite´ de ce prestigieux circuit, qui passionne les plus grands cavaliers au monde: du tre`s grand sport et la mise en sce`ne d’un ve´ritable show”, apprécie celui qui œuvre également en tant que professeur de marketing dans une e´cole de commerce en Lorraine, dans un entretien publié sur le site internet des Longines Masters. “L’expe´rience lausannoise a e´te´ concluante et Christophe Ameeuw m’a alors propose´ d’officier au Longines Masters de Paris. J’ai accepte´ avec honneur et humilite´. C’est un immense honneur d’entrer dans la famille de grands chefs de piste comme Frank Rothenberger, Louis Konickx ou Uliano Vezzani pour ne citer qu’eux. Je mesure ma chance: j’ai monte´ mon premier parcours en CSI 5* il y a trois ans a` peine, et cette nouvelle collaboration est le signe d’une reconnaissance de la part du monde e´questre et d’une confiance que je ne trahirai pas. Tout sera mis en œuvre pour proposer du sport de haut niveau couple´ a` du show.”
Lorsqu’on lui demande de définir le style Bodo, le chef de piste préfère évoquer les valeurs qui guident son travail. “La plus importante restera le respect de l’inte´grite´ physique et morale du cheval. Mes parcours ne doivent jamais mettre les chevaux a` l’effort, sur des combinaisons, des lignes aux distances pas franchement justes pour le cheval. Jamais ils ne doivent aller au-dela` des limites de l’animal. Au contraire, je cherche la fluidite´ dans l’allure, sans cre´er de rupture dans le rythme. Si bien que je ne chercherai jamais la recette pour cre´er la faute brutale ; je pre´fe`re e´ventuellement ajuster le temps accorde´, pour imposer un rythme plus soutenu qu’attendu, mais qui restera naturel pour les chevaux et sans rupture.” On lui souhaite de réussir à relever ce défi dans le hall 5b du parc des expositions.
“En juin, mon premier contact avec la se´rie des Longines Masters m’a permis de mieux comprendre l’ADN et la finalite´ de ce prestigieux circuit, qui passionne les plus grands cavaliers au monde: du tre`s grand sport et la mise en sce`ne d’un ve´ritable show”, apprécie celui qui œuvre également en tant que professeur de marketing dans une e´cole de commerce en Lorraine, dans un entretien publié sur le site internet des Longines Masters. “L’expe´rience lausannoise a e´te´ concluante et Christophe Ameeuw m’a alors propose´ d’officier au Longines Masters de Paris. J’ai accepte´ avec honneur et humilite´. C’est un immense honneur d’entrer dans la famille de grands chefs de piste comme Frank Rothenberger, Louis Konickx ou Uliano Vezzani pour ne citer qu’eux. Je mesure ma chance: j’ai monte´ mon premier parcours en CSI 5* il y a trois ans a` peine, et cette nouvelle collaboration est le signe d’une reconnaissance de la part du monde e´questre et d’une confiance que je ne trahirai pas. Tout sera mis en œuvre pour proposer du sport de haut niveau couple´ a` du show.”
Lorsqu’on lui demande de définir le style Bodo, le chef de piste préfère évoquer les valeurs qui guident son travail. “La plus importante restera le respect de l’inte´grite´ physique et morale du cheval. Mes parcours ne doivent jamais mettre les chevaux a` l’effort, sur des combinaisons, des lignes aux distances pas franchement justes pour le cheval. Jamais ils ne doivent aller au-dela` des limites de l’animal. Au contraire, je cherche la fluidite´ dans l’allure, sans cre´er de rupture dans le rythme. Si bien que je ne chercherai jamais la recette pour cre´er la faute brutale ; je pre´fe`re e´ventuellement ajuster le temps accorde´, pour imposer un rythme plus soutenu qu’attendu, mais qui restera naturel pour les chevaux et sans rupture.” On lui souhaite de réussir à relever ce défi dans le hall 5b du parc des expositions.