’’Je sais que je peux battre Isabell Werth !’’, Laura Graves
Alors qu’Isabell Werth semble intouchable dans cette finale de la Coupe du monde, seule Laura Graves semble en mesure de pouvoir la détrôner. L’Américaine, en son jardin à Omaha, veut d’ailleurs croire en ses chances et en celles de son très bon Verdades, qu’elle monte depuis plus de dix ans. À quelques heures du dénouement, la dresseuse de vingt-neuf ans s’est confiée à GrandPrix-Replay.
GrandPrix-Replay : Que pensez-vous de cette finale de Coupe du monde organisée à Omaha ?
Laura Graves : Tout ici est incroyable ! L’équipe organisatrice est la même que celle qui s’occupe du Global Dressage Festival de Wellington. Je savais donc que tout marcherait bien. C’est ma deuxième finale de Coupe du monde puisque j’avais participé à celle de Las Vegas, en 2015 et je peux dire que tout est mieux ici. L’an passé, je ne suis pas aller à Göteborg car il y avait les Jeux olympiques de Rio et que j’ai préféré économiser le long voyage à Verdades.
GPR. : En tant qu’américaine, on sent que le public vibre encore plus pour vous. Est-ce une pression supplémentaire à gérer ?
L. G. : Non, à vrai dire, je trouve que c’est encore plus facile et plus plaisant ! Quand on sent que la foule est de son côté, on se sent bienvenu et c’est très agréable.
GPR. : Quels étaient vos objectifs en venant ici ?
L . G. : Je monte pour gagner. Clairement, on doit faire de son mieux ici car il n’y a que les tout meilleurs mondiaux.
GPR. : Pensez-vous pouvoir battre Isabell cet après-midi, dans la Reprise Libre en Musique ?
L. G. : Je suis sûre que je le peux ! Vous savez, avec les chevaux, tout est possible. Verdades n’est pas forcément habitué aux concours en indoor puisque nous n’en avons pas fait depuis la fin de l’année dernière, mais cela ne change rien pour lui. Je dois simplement garder mon but en tête et avoir confiance. Verdades connaît son travail.
GPR. : Verdades a déjà quinze ans. Comment le sentez-vous en piste ? Envisagez-vous de le mettre à la retraite bientôt ?
L. G. : Pour l’instant, ce n’est pas d’actualité. Il est toujours aussi heureux d’être en piste. Il n’a attaqué le Grand Prix qu’à douze ans et m’a déjà tellement donné. Pour l’instant, nous visons les Jeux équestres mondiaux de Tryon, l’année prochaine. Ensuite, il aura seize ans, nous aviserons cela sa forme du moment.
GPR. : Quels sont vos objectifs pour la suite de la saison ?
L. G. : Nous devons encore en parler, pour l’instant rien n’est arrêté. J’aimerais vraiment essayer de garder le meilleur rang possible au classement mondial. Mais je vais voir pour prendre la décision la plus intelligente. Je pense que tout sera défini d’ici deux mois.
Laura Graves : Tout ici est incroyable ! L’équipe organisatrice est la même que celle qui s’occupe du Global Dressage Festival de Wellington. Je savais donc que tout marcherait bien. C’est ma deuxième finale de Coupe du monde puisque j’avais participé à celle de Las Vegas, en 2015 et je peux dire que tout est mieux ici. L’an passé, je ne suis pas aller à Göteborg car il y avait les Jeux olympiques de Rio et que j’ai préféré économiser le long voyage à Verdades.
GPR. : En tant qu’américaine, on sent que le public vibre encore plus pour vous. Est-ce une pression supplémentaire à gérer ?
L. G. : Non, à vrai dire, je trouve que c’est encore plus facile et plus plaisant ! Quand on sent que la foule est de son côté, on se sent bienvenu et c’est très agréable.
GPR. : Quels étaient vos objectifs en venant ici ?
L . G. : Je monte pour gagner. Clairement, on doit faire de son mieux ici car il n’y a que les tout meilleurs mondiaux.
GPR. : Pensez-vous pouvoir battre Isabell cet après-midi, dans la Reprise Libre en Musique ?
L. G. : Je suis sûre que je le peux ! Vous savez, avec les chevaux, tout est possible. Verdades n’est pas forcément habitué aux concours en indoor puisque nous n’en avons pas fait depuis la fin de l’année dernière, mais cela ne change rien pour lui. Je dois simplement garder mon but en tête et avoir confiance. Verdades connaît son travail.
GPR. : Verdades a déjà quinze ans. Comment le sentez-vous en piste ? Envisagez-vous de le mettre à la retraite bientôt ?
L. G. : Pour l’instant, ce n’est pas d’actualité. Il est toujours aussi heureux d’être en piste. Il n’a attaqué le Grand Prix qu’à douze ans et m’a déjà tellement donné. Pour l’instant, nous visons les Jeux équestres mondiaux de Tryon, l’année prochaine. Ensuite, il aura seize ans, nous aviserons cela sa forme du moment.
GPR. : Quels sont vos objectifs pour la suite de la saison ?
L. G. : Nous devons encore en parler, pour l’instant rien n’est arrêté. J’aimerais vraiment essayer de garder le meilleur rang possible au classement mondial. Mais je vais voir pour prendre la décision la plus intelligente. Je pense que tout sera défini d’ici deux mois.