Le Club des 80% de plus en plus fréquenté
Alors que le mois de mars vient à peine de commencer, deux couples, Laura Graves et Verdades et Isabell Werth et Emilio, viennent de rejoindre le club des 80%, ce petit groupe de couples qui ont dépassé la barre des 80% sur le Grand Prix. Un but de plus en plus facile à atteindre ? GrandPrix-Replay s'est posé la question.
Plus les années passent, plus passer la barre des 80% dans le Grand Prix semble chose facile. En l'espace d'un mois, l'Américaine Laura Graves, avec Verdades, et l'Allemande Isabell Werth, sur son jeune Emilio, ont tour à tour franchit cette barre symbolique, preuve de leur grande maîtrise de la plus difficile reprise de dressage.
Le niveau augmente-t-il avec les années ? La reprise deviendrait-elle "obsolète" ? La nouvelle manière de faire du dressage est-elle plus efficace ? Toujours étant que 2016 a été l'une des années où le plus grand nombre de couples ont franchi la barre des 80%. Ils ont été trois : Isabell Werth et Weihegold, Dorothee Schneider et Showtime FRH et Inessa Merkulova et Mister X. Pourtant, en 2015, aucun couple n'est parvenu à réaliser l'exploit, alors qu'ils étaient deux, Isabell Werth sur Bella Rose et Mathias Alexander Rath sur Totilas, à le faire en 2014.
Si l'on n'observe aucune constance pour les années des Jeux olympiques et des championnats d'Europe, on remarque en revanche que chaque année de Jeux équestres mondiaux (2006, 2010 et 2014), au moins un couple grave son nom dans l'histoire du dressage.
Le niveau augmente-t-il avec les années ? La reprise deviendrait-elle "obsolète" ? La nouvelle manière de faire du dressage est-elle plus efficace ? Toujours étant que 2016 a été l'une des années où le plus grand nombre de couples ont franchi la barre des 80%. Ils ont été trois : Isabell Werth et Weihegold, Dorothee Schneider et Showtime FRH et Inessa Merkulova et Mister X. Pourtant, en 2015, aucun couple n'est parvenu à réaliser l'exploit, alors qu'ils étaient deux, Isabell Werth sur Bella Rose et Mathias Alexander Rath sur Totilas, à le faire en 2014.
Si l'on n'observe aucune constance pour les années des Jeux olympiques et des championnats d'Europe, on remarque en revanche que chaque année de Jeux équestres mondiaux (2006, 2010 et 2014), au moins un couple grave son nom dans l'histoire du dressage.