’’Former des chevaux me procure un réel plaisir quotidien’’, Dorothee Schneider

Cet été à Rio, Dorothee Schneider s’est hissée sur le deuxième podium olympique de sa carrière. Même si elle n’a terminé que sixième de la Reprise Libre en Musique avec Showtime FRH, la dresseuse de quarante-sept ans a pleinement contribué à la médaille d’or de la Mannschaft aux côtés d’Isabell Werth, Kristina Bröring-Sprehe et Sönke Rothenberger. Depuis le 8 mai, le couple numéro trois au classement mondial a systématiquement été noté à plus 80 %, remportant notamment le championnat d’Allemagne. Assurée de pouvoir conserver son crack de dix ans, la cavalière établie à Framersheim, un village de Rhénanie-Palatinat, a tout pour voir la vie en rose !



Grand Prix : En 2012 à Londres, vous aviez déjà participé à la médaille d’argent de l’Allemagne. Cette fois, vous êtes rentrée de Rio avec l’or. En quoi ces récompenses ont-elle changé votre vie ?
Dorothee Schneider :
Après Londres, j’ai acquis une force que personne ne pourra jamais m’enlever. Ces succès confirment mes choix de carrière. J’ai dédié ma vie au dressage. Avoir l’entière responsabilité de mes partenaires sportifs me rend heureuse chaque jour. Pour autant, cette passion existait déjà avant les médailles.

Grand Prix : À Rio, la Mannschaft est apparue plus forte que jamais. Comment expliquez-vous cette domination ?
D.S. :
L’Allemagne construit ses succès à long terme à travers un excellent travail de base et de développement, aussi bien pour les chevaux que pour les cavaliers. Cela paie dans les grands championnats mais pas seulement, puisqu’au-delà de l’équipe, les autres cavaliers du cadre A obtiennent facilement des moyennes supérieures à 75 % en Grand Prix. Ceci dit, cette année, il est clair que nous avons atteint un niveau particulièrement élevé !

Grand Prix : Les reprises de Charlotte Dujardin et Valegro, médaillés d’or pour la seconde fois, vous ont-elles impressionnée ?
Dorothee Schneider :
J’ai toujours été impressionnée par Valegro, et à nouveau à Rio. Ce couple n’aurait pu être battu que s’il avait commis des fautes. Or, Charlotte a superbement présenté son Grand Prix et sa Libre. À mes yeux, ils ont bien mérité leur médaille d’or individuelle.

GRAND PRIX : En 2012 à Londres, vous aviez déjà participé à la médaille d’argent de l’Allemagne. Cette fois, vous êtes rentrée de Rio avec l’or. En quoi ces récompenses ont-elle changé votre vie ? DOROTHEE SCHNEIDER : Après Londres, j’ai acquis une force que personne ne pourra jamais m’enlever. Ces succès confirment mes choix de carrière. J’ai dédié ma vie au dressage. Avoir l’entière responsabilité de mes partenaires sportifs me rend heureuse chaque jour. Pour autant, cette passion existait déjà avant les médailles.
G.P. : À Rio, la Mannschaft est apparue plus forte que jamais. Comment expliquez-vous cette domination ? D.S. : L’Allemagne construit ses succès à long terme à travers un excellent travail de base et de développement, aussi bien pour les chevaux que pour les cavaliers. Cela paie dans les grands championnats mais pas seulement, puisqu’au-delà de l’équipe, les autres cavaliers du cadre A obtiennent facilement des moyennes supérieures à 75 % en Grand Prix. Ceci dit, cette année, il est clair que nous avons atteint un niveau particulièrement élevé !
G.P. : Les reprises de Charlotte Dujardin et Valegro, médaillés d’or pour la seconde fois, vous ont-elles impressionnée ? D.S. : J’ai toujours été impressionnée par Valegro, et à nouveau à Rio. Ce couple n’aurait pu être battu que s’il avait commis des fautes. Or, Charlotte a superbement présenté son Grand Prix et sa Libre. À mes yeux, ils ont bien mérité leur médaille d’or individuelle.

GRAND PRIX : En 2012 à Londres, vous aviez déjà participé à la médaille d’argent de l’Allemagne. Cette fois, vous êtes rentrée de Rio avec l’or. En quoi ces récompenses ont-elle changé votre vie ? DOROTHEE SCHNEIDER : Après Londres, j’ai acquis une force que personne ne pourra jamais m’enlever. Ces succès confirment mes choix de carrière. J’ai dédié ma vie au dressage. Avoir l’entière responsabilité de mes partenaires sportifs me rend heureuse chaque jour. Pour autant, cette passion existait déjà avant les médailles.
G.P. : À Rio, la Mannschaft est apparue plus forte que jamais. Comment expliquez-vous cette domination ? D.S. : L’Allemagne construit ses succès à long terme à travers un excellent travail de base et de développement, aussi bien pour les chevaux que pour les cavaliers. Cela paie dans les grands championnats mais pas seulement, puisqu’au-delà de l’équipe, les autres cavaliers du cadre A obtiennent facilement des moyennes supérieures à 75 % en Grand Prix. Ceci dit, cette année, il est clair que nous avons atteint un niveau particulièrement élevé !
G.P. : Les reprises de Charlotte Dujardin et Valegro, médaillés d’or pour la seconde fois, vous ont-elles impressionnée ? D.S. : J’ai toujours été impressionnée par Valegro, et à nouveau à Rio. Ce couple n’aurait pu être battu que s’il avait commis des fautes. Or, Charlotte a superbement présenté son Grand Prix et sa Libre. À mes yeux, ils ont bien mérité leur médaille d’or individuelle.

La suite de cet entretien richement illustré est à lire dans le numéro de novembre de Grand Prix Magazine.

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