La Grande Semaine de Saumur, plateforme du dressage tricolore
Après Lamotte-Beuvron, Fontainebleau et Pompadour, la Société hippique française poursuit ses grandes semaines dédiées à l’élevage avec la Grande semaine de Saumur. Organisée sur le sublime site de l’École nationale d’équitation, elle est devenue plus qu’un rendez-vous de l’élevage, attirant l’ensemble de la France du dressage.
Depuis hier et jusqu’à dimanche, les meilleurs jeunes chevaux de dressage sont au rendez-vous donné par la Société hippique française (SHF) à l’École nationale d’équitation de Saumur. Poneys et chevaux âgés de quatre à six ans vont ainsi se défier tout le week-ends, avant que les meilleurs ne se retrouvent en finale. ’’Comme dans toutes les Grandes semaines, notre objectif est de former, sélectionner et promouvoir les jeunes chevaux de quatre à six ans’’, explique Guillaume de Thoré, Directeur de la SHF. ’’C’est le rôle même de la SHF. Mais nous avons réussi à créer, autour de la Grande semaine de Saumur, un événement global du dressage français. La Grande semaine, qui est résolument tournée vers l’élevage, présente des jeunes chevaux avec un objectif haut niveau, ce qui rend le CDI organisé en parallèle très cohérent avec les épreuves d’élevage que nous organisons.’’
Car les CDI 2 et 3* organisés en parallèle semblent profiter de la notoriété de la Grande Semaine pour ramener un plateau de cavaliers toujours plus varié. ’’Nous organisons ce CDI pour la troisième année consécutive’’, indique Jean-Christophe Dupuy, Directeur du Comité équestre de Saumur, en charge de l’organisation des compétitions. ’’Il y a une vraie cohérence vis-à-vis du public étranger car ces deux événements ensemble, Grande Semaine et CDI, offrent une véritable photographie du dressage en France. La mission est alors double : présenter les chevaux français et faire venir les cavaliers étrangers.’’ Mission réussie cette année puisque le CDI a attiré des cavaliers de treize nations différentes : Belgique, Colombie, Danemark, Finlande, Grande-Bretagne, Hong-Kong, Maroc, Pays-Bas, Portugal, Russie, Luxembourg, Indonésie et, bien sûr, France. ’’Il y a pratiquement tous les continents représentés’’, se réjouit Jean-Christophe Dupuy. ’’C’est un motif de fierté.’’
Au final, élevage et compétition se rejoignent donc très bien, pour le plus grand bonheur des acteurs et amateurs de la filière dressage. ’’Les deux événements permettent de voir la pépinière française des chevaux de dressage, c’est un très bon aboutissement’’, analyse Odile van Doorn, cavalière internationale et Présidente de la commission dressage de la SHF. ’’Les gens sont très heureux de voir sur un même site toute la gamme de chevaux. Pour le public comme pour les amoureux du dressage, c’est une chance incroyable d’avoir tout réuni au même endroit.’’
Et pour ceux qui ne pourraient pas être à Saumur ce week-end, les épreuves sont retransmises en direct et en vidéo sur le web. Une nouveauté dont se félicite Guillaume de Thoré. ’’C’est un service en plus qui nous a paru indispensable. Les personnes qui ne peuvent être là, qu’ils soient marchands ou particuliers, peuvent tout de même voir les chevaux et cela nous a paru très important, surtout lorsque l’on considère l’aspect commercial de la Grande Semaine.’’
Car les CDI 2 et 3* organisés en parallèle semblent profiter de la notoriété de la Grande Semaine pour ramener un plateau de cavaliers toujours plus varié. ’’Nous organisons ce CDI pour la troisième année consécutive’’, indique Jean-Christophe Dupuy, Directeur du Comité équestre de Saumur, en charge de l’organisation des compétitions. ’’Il y a une vraie cohérence vis-à-vis du public étranger car ces deux événements ensemble, Grande Semaine et CDI, offrent une véritable photographie du dressage en France. La mission est alors double : présenter les chevaux français et faire venir les cavaliers étrangers.’’ Mission réussie cette année puisque le CDI a attiré des cavaliers de treize nations différentes : Belgique, Colombie, Danemark, Finlande, Grande-Bretagne, Hong-Kong, Maroc, Pays-Bas, Portugal, Russie, Luxembourg, Indonésie et, bien sûr, France. ’’Il y a pratiquement tous les continents représentés’’, se réjouit Jean-Christophe Dupuy. ’’C’est un motif de fierté.’’
Au final, élevage et compétition se rejoignent donc très bien, pour le plus grand bonheur des acteurs et amateurs de la filière dressage. ’’Les deux événements permettent de voir la pépinière française des chevaux de dressage, c’est un très bon aboutissement’’, analyse Odile van Doorn, cavalière internationale et Présidente de la commission dressage de la SHF. ’’Les gens sont très heureux de voir sur un même site toute la gamme de chevaux. Pour le public comme pour les amoureux du dressage, c’est une chance incroyable d’avoir tout réuni au même endroit.’’
Et pour ceux qui ne pourraient pas être à Saumur ce week-end, les épreuves sont retransmises en direct et en vidéo sur le web. Une nouveauté dont se félicite Guillaume de Thoré. ’’C’est un service en plus qui nous a paru indispensable. Les personnes qui ne peuvent être là, qu’ils soient marchands ou particuliers, peuvent tout de même voir les chevaux et cela nous a paru très important, surtout lorsque l’on considère l’aspect commercial de la Grande Semaine.’’