’’Ça ne peut marcher que s'il y a une bonne entente avec Don Luis’’, Karen Tebar
Hier soir, Karen Tebar a encore fait des étincelles en décrochant la magnifique moyenne de 78.375% dans la Reprise Libre en Musique du CDIO 5* de Rotterdam avec Don Luis. Un nouveau texte et de nouvelles musiques qu'elle a présenté de mains de maître, avec une technique parfaite. Pour GrandPrix-Replay, elle a accepté de revenir sur sa performance à peine descendue de cheval.
GrandPrix-Replay : Votre nouvelle Reprise Libre en Musique sur les chansons françaises à beaucoup plu. Comment en avez-vous eu l’idée ?
Karen Tebar : Je suis contente que ma reprise plaise. C’est une nouvelle musique que j’ai présentée pour la première fois. Je suis fan de beaucoup de genres de musique, mais aussi de la musique française. J’ai choisi la chanson ’’Alors on Danse’’ de Stromae car j’adore danser et mon cheval aussi. Je me suis dit que c’était l’occasion de le montrer ! Pour les autres musiques, ce sont des chansons que j’aime.
GPR : Vous démarrez notamment sur un piaffer directement après l’arrêt et le salut. Un pari osé !
K. T. : En écrivant mon texte, j’ai bien réfléchi. Beaucoup de cavaliers commencent sur un passage-piaffer et, comme Don Luis sait faire le piaffer de l’arrêt, je me suis dit que c’était le bon moment pour le faire.
GPR : Votre entente avec Don Luis semble être meilleure encore qu’aux championnats d’Europe l’année dernière, si bien que les gens se sont mis à applaudir durant votre reprise !
K.T. : Pour moi, ça ne peut marcher qui s’il y a une bonne entente avec mon cheval et s’il a envie de travailler avec moi. Le dressage est mon hobby, mon plaisir, et je suis contente que ça fasse plaisir à tout le monde. D’ailleurs, Don Luis adore quand les gens applaudissent, et ça lui fait plaiisir à lui aussi.
GPR : Avez-vous atteints tous vos objectifs ce week-end ?
K. T. : Je crois que tous les objectifs du week-end ont été atteints, sauf celui de faire un Grand Prix sans faute. Mais je pense que nous pouvons être contents de nous, les Français.
GPR : Tout cela est en tout cas de bon augure pour les Jeux olympiques de Rio, où vous pourriez bien rentrer dans la RLM.
K. T. : Je pense que tous cela est de bon augure pour le classement individuel mais aussi par équipes. J’ai vu le Grand Prix Spécial de Pierre puis celui de Séphanie, c’était très bien, et je sais que Ludovic est capable de faire très bien également. Nous avons tous fait de belles choses et nous avons montré que nous pouvions nous aligner en équipe.
GPR : Il semble en tout cas régner un bel esprit d’équipe dans le groupe France.
K. T. : Nous avons un réel esprit d’équipe. Nous avons commencé à travailler là-dessus il y a presque deux ans et nous commençons à tous très bien nous connaître. Nous nous sommes fixés certaines règles, ce qui est une bonne chose car chacun sait ce que l’autre aime et ce qui le dérange. Nous avons vraiment un objectif commun et cela compte beaucoup pour moi.
GPR : Quel est votre programme désormais ? Allez-vous participer au Master Pro de Vierzon ?
K. T. : Nous allons aller à Vierzon maintenant, mais je ne sais pas si je montrai Don Luis ou Ricardo. Le programme a été très dense ces dernières semaines et nous n’avons pas vraiment eu le temps de nous pencher sur la question.
Karen Tebar : Je suis contente que ma reprise plaise. C’est une nouvelle musique que j’ai présentée pour la première fois. Je suis fan de beaucoup de genres de musique, mais aussi de la musique française. J’ai choisi la chanson ’’Alors on Danse’’ de Stromae car j’adore danser et mon cheval aussi. Je me suis dit que c’était l’occasion de le montrer ! Pour les autres musiques, ce sont des chansons que j’aime.
GPR : Vous démarrez notamment sur un piaffer directement après l’arrêt et le salut. Un pari osé !
K. T. : En écrivant mon texte, j’ai bien réfléchi. Beaucoup de cavaliers commencent sur un passage-piaffer et, comme Don Luis sait faire le piaffer de l’arrêt, je me suis dit que c’était le bon moment pour le faire.
GPR : Votre entente avec Don Luis semble être meilleure encore qu’aux championnats d’Europe l’année dernière, si bien que les gens se sont mis à applaudir durant votre reprise !
K.T. : Pour moi, ça ne peut marcher qui s’il y a une bonne entente avec mon cheval et s’il a envie de travailler avec moi. Le dressage est mon hobby, mon plaisir, et je suis contente que ça fasse plaisir à tout le monde. D’ailleurs, Don Luis adore quand les gens applaudissent, et ça lui fait plaiisir à lui aussi.
GPR : Avez-vous atteints tous vos objectifs ce week-end ?
K. T. : Je crois que tous les objectifs du week-end ont été atteints, sauf celui de faire un Grand Prix sans faute. Mais je pense que nous pouvons être contents de nous, les Français.
GPR : Tout cela est en tout cas de bon augure pour les Jeux olympiques de Rio, où vous pourriez bien rentrer dans la RLM.
K. T. : Je pense que tous cela est de bon augure pour le classement individuel mais aussi par équipes. J’ai vu le Grand Prix Spécial de Pierre puis celui de Séphanie, c’était très bien, et je sais que Ludovic est capable de faire très bien également. Nous avons tous fait de belles choses et nous avons montré que nous pouvions nous aligner en équipe.
GPR : Il semble en tout cas régner un bel esprit d’équipe dans le groupe France.
K. T. : Nous avons un réel esprit d’équipe. Nous avons commencé à travailler là-dessus il y a presque deux ans et nous commençons à tous très bien nous connaître. Nous nous sommes fixés certaines règles, ce qui est une bonne chose car chacun sait ce que l’autre aime et ce qui le dérange. Nous avons vraiment un objectif commun et cela compte beaucoup pour moi.
GPR : Quel est votre programme désormais ? Allez-vous participer au Master Pro de Vierzon ?
K. T. : Nous allons aller à Vierzon maintenant, mais je ne sais pas si je montrai Don Luis ou Ricardo. Le programme a été très dense ces dernières semaines et nous n’avons pas vraiment eu le temps de nous pencher sur la question.