’’Apporter de nouvelles idées originales au Royal Jump’’, Hervé Taieb
Il y a quinze jours, Hervé Taieb voyait vivre le Royal Jump, son premier concours en tant qu'organisateur, organisé sur ses terres de Bertichères, près de Chaumont-en-Vexin, dans l'Oise. Cinq jours de compétition sur le très beau terrain de golf, mêlant concours complet et saut d'obstacles. À froid, il dresse un premier bilan et revient sur cette expérience unique.
GrandPrix-Replay : Quinze jours après la fin de l’événement, êtes- vous satisfait de cette première édition du Royal Jump ?
Hervé Taieb : Je suis très satisfait car tout le monde à répondu présent. Suite à l’événement, j’ai reçu beaucoup d’éloges des cavaliers, même étrangers, qui étaient très contents d'être venus et d'avoir pris part à cette première édition du Royal Jump.
GPR. : Pensez-vous déjà à une deuxième édition ?
H. T. : Oui, bien sûr, nous y pensons. Maintenant, la décision finale ne sera prise que début juillet. Avant cela, je vais dresser un bilan avec tous mes partenaires.
GPR. : Quelles seraient les raisons qui pourraient vous faire y renoncer ?
H. T. : Je vois deux principales raisons. La première est l'éventualité où les partenaires décidaient de ne plus suivre. La seconde pourrait être un manque de temps et d'engagement de ma part pour pouvoir refaire un Royal Jump.
GPR. : Voyez-vous des points à changer par rapport à cette première édition ?
H. T. : Pour l'instant, je ne souhaite rien changer. Je tiens vraiment à ce mélange de disciplines, entre le concours complet et le saut d'obstacles. Après, c'est vrai que j'aimerais faire évoluer les animations et apporter de nouvelles idées originales.
GPR. : Que retenez vous de votre première expérience en tant qu’organisateur de concours ?
H. T. : Si nous avons réussi cette première édition du Royal Jump, c'est avant tout grâce à la force de toute une équipe. J'ai également une pensée particulière pour Jean-Yves Bonneau, qui a été d'une aide plus que précieuse.
Hervé Taieb : Je suis très satisfait car tout le monde à répondu présent. Suite à l’événement, j’ai reçu beaucoup d’éloges des cavaliers, même étrangers, qui étaient très contents d'être venus et d'avoir pris part à cette première édition du Royal Jump.
GPR. : Pensez-vous déjà à une deuxième édition ?
H. T. : Oui, bien sûr, nous y pensons. Maintenant, la décision finale ne sera prise que début juillet. Avant cela, je vais dresser un bilan avec tous mes partenaires.
GPR. : Quelles seraient les raisons qui pourraient vous faire y renoncer ?
H. T. : Je vois deux principales raisons. La première est l'éventualité où les partenaires décidaient de ne plus suivre. La seconde pourrait être un manque de temps et d'engagement de ma part pour pouvoir refaire un Royal Jump.
GPR. : Voyez-vous des points à changer par rapport à cette première édition ?
H. T. : Pour l'instant, je ne souhaite rien changer. Je tiens vraiment à ce mélange de disciplines, entre le concours complet et le saut d'obstacles. Après, c'est vrai que j'aimerais faire évoluer les animations et apporter de nouvelles idées originales.
GPR. : Que retenez vous de votre première expérience en tant qu’organisateur de concours ?
H. T. : Si nous avons réussi cette première édition du Royal Jump, c'est avant tout grâce à la force de toute une équipe. J'ai également une pensée particulière pour Jean-Yves Bonneau, qui a été d'une aide plus que précieuse.