Au sommaire du numéro de décembre/janvier de GRANDPRIX magazine

Pour le numéro de décembre/janvier de GRANDPRIX Magazine, découvrez en couverture Thierry Rozier, le Tricolore qui n’est plus là pour plaisanter. Entretien également avec le nouveau représentant des cavaliers de saut d’obstacles à la Fédération équestre internationale, Cian O’Connor. Découvrez un portrait de Padraig McCarthy, un cavalier au bon pied, bon œil et avec une tête bien faite. Apprenez-en davantage sur Daniel Bachmann Andersen, le nouvel homme fort du dressage danois, ainsi que sur les Lafaure, éleveurs entraineurs et compétiteurs éthiques. Côté élevage, partez à la rencontre des lignées mâles les plus influentes du saut d’obstacles et de l’élevage de Saint Fray. À retrouver sur notre stand du Salon du cheval de Paris ainsi que dans vos kiosques !



Thierry Rozier tombe le masque et embrasse son destin
Longtemps dans l’ombre de son père Marcel et de son frère aîné Philippe, sacrés champions olympiques par équipes en 1976 et 2016, Thierry Rozier a tardé à redevenir le cavalier de haut niveau qu’il était dès les années 1980. Après avoir cherché sa voie dans le monde des
courses et coaché différentes personnalités, à cinquante ans passés, le cadet de la fratrie s’autorise enfin à rêver d’Olympe et de couronnes de lauriers. Heureux et bienveillant réserviste de l’équipe de France de saut d’obstacles aux Jeux équestres mondiaux de Tryon, le Bacot a désormais les yeux rivés sur les JO de Tokyo, qu’il espère disputer avec l’excellente Venezia d’Écaussinnes. Et rien ne saurait plus le dévier du chemin qu’il s’est tracé. 
 
“Inclure le maximum de cavaliers dans les débats de la FEI”, Cian O’Connor 
Fin septembre, Cian O’Connor a été élu par ses pairs représentant des cavaliers de saut d’obstacles à la Fédération équestre internationale. Pendant quatre ans, il siègera au sein des comités des athlètes et de jumping de l’organisation, participant notamment aux processus de modification des règlements. Prenant ce rôle très au sérieux, l’Irlandais de trente-neuf ans entend porter la voix de tous les pilotes, et pas seulement des meilleurs. Dans les allées d’Equita Longines, le Salon du cheval de Lyon, le médaillé de bronze des derniers championnats d’Europe a répondu aux nombreuses questions de GRANDPRIX.
 
Padraig McCarthy, bon pied, bon œil et tête bien faite
En septembre à Tryon, aux États-Unis, Padraig McCarthy a décroché deux splendides médailles d’argent aux Jeux équestres mondiaux, portant l’Irlande à un niveau inédit en concours complet. En selle sur le talentueux Mr Chunky, le jeune quadragénaire s’est révélé aux yeux du grand public. Ancien cavalier de saut d’obstacles, celui qui fut aussi l’auteur d’une thèse sur les lois bancaires a suivi un parcours peu commun.
 
Daniel Bachmann-Andersen, le nouvel homme fort du dressage danois
Le style est athlétique et l’impression sympathique. Il y a quelques semaines à Herning,
chez lui au Danemark, Daniel Bachmann Andersen a remporté la première étape de
la Coupe du monde de sa jeune carrière. À la tête d’un piquet de quatre chevaux de niveau Grand Prix, dont l’étalon Blue Hors Zack, ce dresseur de vingt-huit ans fait partie de cette nouvelle génération de cavaliers qui ne cessent de progresser.
 
Les Lafaure, éleveurs, entraineurs et compétiteurs éthiques 
Chez les Lafaure, on a l’endurance dans le sang, entre le père Jean-Noël, ancien cavalier et fondateur de l’élevage Cabirat, à Mazeyrolles en Dordogne, et ses enfants, Julien, Roman et Morgane, tous trois compétiteurs de haut niveau. Rencontre avec une famille résolument attachée à un développement raisonné de cette discipline en crise.
 
Les lignées mâles les plus influentes du saut d’obstacles
Cor de la Bryère, Almé, Capitol I, Nimmerdor, Ladykiller, Furioso II,  Stakkato, Argentinus et Darco. À travers une analyse détaillée du top cent des meilleurs pères de gagnants internationaux en saut d’obstacles publié par la Fédération mondiale de l’élevage de chevaux de sport, GRANDPRIX s’est intéressé aux lignées paternelles qui dominent le monde.
 
Saint Fray, l’élevage sarthois d’un certain Tokyo 2
Depuis début 2018, Tokyo 2 s’illustre régulièrement en CSI 5* avec l’Allemand Christian Ahlmann. Il y a onze ans, ce fils de Kannan a vu le jour sous le nom de Tokyo de Saint Fray, chez Catherine Savare. Un élevage relativement récent, puisque l’alezan est issu de la deuxième génération de produits nés à La Chapelle-Saint-Fray. Depuis, le haras s’est diversifié en se tournant vers le secteur des courses, moins hasardeux sur le plan économique. 
 
Et comme chaque mois, retrouvez également les pages technique, santé, soins, équipement, légende, spectacle, culture ou encore livres. 
 
GRANDPRIX Magazine n°102 est à retrouver sur notre stand du Salon du cheval de Paris ainsi que dans vos kiosques !