La rhinopneumonie recule
À la suite d’une réunion de la cellule de crise du Réseau d’épidémio-surveillance en pathologie équine (RESPE), un communiqué fait état de la situation en France. Ces deux dernières semaines, le nombre de foyer a diminué et la situation semble s’améliorer.
Fin avril, l’accroissement de cas de rhinopneumonie à travers la France avait suscité l’inquiétude dans les écuries. Hier, le Réseau d’épidémio-surveillance en pathologie équine a publié un communiqué faisant un état des lieux de la situation. Depuis, un seul nouveau foyer d’infection HVE1 a été confirmé en Haut-Garonne, en lien avec un foyer déjà connu, menant donc le cas d’herpès virus de ce type à trente-sept (l’explication des différents types de virus par le Dr. Christophe Schlotterer ici). Concernant le type 4 d’herpès virus (HVE4), deux nouveaux cas ont été détectés dans l’Orne et un en Loire-Atlantique. En définitive, cinquante cas de type 4 sont donc connus sur l’Hexagone, dont un dépistage positif sur un cheval asymptomatique.
Le nombre de foyers à travers le territoire a donc diminué ces deux dernières semaines, et les valeurs enregistrées sont à nouveau comparables à celles observées les années précédentes à la même période. Selon le RESPE, “la situation semble maitrisée, avec une absence de nouvelle extension de la maladie”.
Si la localisation exacte des foyers confirmés ne peut être communiquée, la RESPE encourage tout de même les responsables des structures concernées de communiquer de façon transparente, ce qui favorise la mise en place de mesures sanitaires au sein de l’établissement.
Même si la situation semble stable et maîtrisée, le risque ne peut être considéré comme complètement écarté. La cellule de crise incite donc à maintenir la vigilance pour les trois prochaines semaines. Cela s’applique particulièrement aux rassemblements, propices à la transmission du virus en cas d’absence de précautions.
Le 27 avril, le Docteur Christophe Schlotterer, vétérinaire équin en Seine-et-Marne et délégué vétérinaire de la Fédération équestre internationale (FEI) lors de compétitions internationales avait répondu à nos questions concernant l’extension des cas de rhinopneumonie. Retrouvez son interview ici.
Le communiqué du RESPE ici
Les mesures de précaution ici
Le nombre de foyers à travers le territoire a donc diminué ces deux dernières semaines, et les valeurs enregistrées sont à nouveau comparables à celles observées les années précédentes à la même période. Selon le RESPE, “la situation semble maitrisée, avec une absence de nouvelle extension de la maladie”.
Si la localisation exacte des foyers confirmés ne peut être communiquée, la RESPE encourage tout de même les responsables des structures concernées de communiquer de façon transparente, ce qui favorise la mise en place de mesures sanitaires au sein de l’établissement.
Même si la situation semble stable et maîtrisée, le risque ne peut être considéré comme complètement écarté. La cellule de crise incite donc à maintenir la vigilance pour les trois prochaines semaines. Cela s’applique particulièrement aux rassemblements, propices à la transmission du virus en cas d’absence de précautions.
Le 27 avril, le Docteur Christophe Schlotterer, vétérinaire équin en Seine-et-Marne et délégué vétérinaire de la Fédération équestre internationale (FEI) lors de compétitions internationales avait répondu à nos questions concernant l’extension des cas de rhinopneumonie. Retrouvez son interview ici.
Le communiqué du RESPE ici
Les mesures de précaution ici