Les entraîneurs nationaux livrent leurs secrets de réussite à Lamotte-Beuvron
Les 12 et 13 mars a eu lieu la seconde édition du séminaire des entraîneurs au parc équestre fédéral de Lamotte-Beuvron. Le rendez-vous a réuni les sélectionneurs nationaux et soixante dix coachs ayant préparé les Poneys, Juniors et Jeunes Cavaliers aux championnats d’Europe en saut d’obstacles, concours complet et dressage.
Lors de cette réunion entre entraîneurs des jeunes cavaliers, l’accent a été mis sur la technique autour du cheval et du cavalier. La première journée a été consacrée à la locomotion du cheval, son harnachement et son bien-être. Le deuxième jour a permis de mieux connaître les jeunes d’aujourd’hui, âgés de douze à vingt-cinq ans, et ainsi que les nouvelles opportunités pédagogiques.
"Des échanges très riches ont eu lieu entre les différents coachs que nous avons incité à ne pas rester par discipline", se réjouit Sophie Dubourg, Directrice Technique Nationale. "Comme il est indispensable que les meilleurs entraîneurs de jeunes cavaliers soient impliqués dans la politique fédérale menée pour le haut niveau. Ce séminaire vise à créer un esprit collectif entre les cadres techniques, les entraîneurs fédéraux et les entraîneurs privés."
Le message a été le rappel de l’importance du travail sur le plat, comme "tronc commun des trois disciplines et sur lequel nous nous concentrons lors des stages fédéraux", rappelle la DTN, tout en ciblant les besoins de formation des coachs et en mettant l’accent sur les outils connectés. "En effet, il est indispensable que les coachs les connaissent, sinon les jeunes vont se tourner vers des entraîneurs moins expérimentés mais habitués de ces outils. Ces derniers doivent être utilisés sans qu’ils se substituent à l’entraîneur. Ils sont complémentaires à la présence physique du coach sur le terrain", souligne Sophie Dubourg.
Jan Bemelmans, entraîneur de l'équipe de France Séniors de dressage, a mis en avant l’importance du travail et de la technique en dressage. "Isabell Werth n’a pas le meilleur cheval du monde, mais elle est numéro 1 du classement mondial car elle ne fait aucune faute ; elle a un contrôle total de sa monture. Le cavalier et l’entraîneur doivent sans cesse s’adapter et se remettre en question car tous les chevaux sont différents", a-t-il notamment dit.
Thierry Pomel, sélectionneur national des Jeunes Cavaliers de saut d’obstacles et adjoint en concours complet en charge du saut d’obstacles, a ajouté : "En France, nous devrions inculquer la valeur du travail aux jeunes car nous manquons de savoir-faire pour que les chevaux aient une longue carrière. Monter à cheval n’est pas très difficile, mais utiliser son cheval dans son fonctionnement l’est davantage !"
"Des échanges très riches ont eu lieu entre les différents coachs que nous avons incité à ne pas rester par discipline", se réjouit Sophie Dubourg, Directrice Technique Nationale. "Comme il est indispensable que les meilleurs entraîneurs de jeunes cavaliers soient impliqués dans la politique fédérale menée pour le haut niveau. Ce séminaire vise à créer un esprit collectif entre les cadres techniques, les entraîneurs fédéraux et les entraîneurs privés."
Le message a été le rappel de l’importance du travail sur le plat, comme "tronc commun des trois disciplines et sur lequel nous nous concentrons lors des stages fédéraux", rappelle la DTN, tout en ciblant les besoins de formation des coachs et en mettant l’accent sur les outils connectés. "En effet, il est indispensable que les coachs les connaissent, sinon les jeunes vont se tourner vers des entraîneurs moins expérimentés mais habitués de ces outils. Ces derniers doivent être utilisés sans qu’ils se substituent à l’entraîneur. Ils sont complémentaires à la présence physique du coach sur le terrain", souligne Sophie Dubourg.
Jan Bemelmans, entraîneur de l'équipe de France Séniors de dressage, a mis en avant l’importance du travail et de la technique en dressage. "Isabell Werth n’a pas le meilleur cheval du monde, mais elle est numéro 1 du classement mondial car elle ne fait aucune faute ; elle a un contrôle total de sa monture. Le cavalier et l’entraîneur doivent sans cesse s’adapter et se remettre en question car tous les chevaux sont différents", a-t-il notamment dit.
Thierry Pomel, sélectionneur national des Jeunes Cavaliers de saut d’obstacles et adjoint en concours complet en charge du saut d’obstacles, a ajouté : "En France, nous devrions inculquer la valeur du travail aux jeunes car nous manquons de savoir-faire pour que les chevaux aient une longue carrière. Monter à cheval n’est pas très difficile, mais utiliser son cheval dans son fonctionnement l’est davantage !"