Generali Open de France club : le choix des disciplines
Après dix jours de compétition, le Generali Open de France club, qui a réuni 7 005 cavaliers, dont 6 425 individuels et 575 équipes montant 6 630 équidés et venant de 1 490 clubs différents, a fermé ses portes le dimanche 30 juillet.
A la différence de la session poney qui est plus axée sur les disciplines traditionnelles, le Generali Open de France club est axé sur la pluralité des pratiques, proposant des championnats de France dans onze disciplines différentes qui répondent à toutes les envies d’équitation.
"Les clubs qui se sortent mieux de la crise sont ceux ont diversifié leur offre de disciplines équestres, ce qui permet de satisfaire les cavaliers qui recherchent une performance sportive tout en n’étant pas forcement attirés par la vitesse", précise Laurent Gallice, directeur sportif du Generali Open de France. "Bien sûr, le CSO reste la discipline qui attire le plus mais le dressage et le concours complet ont vu augmenter leur nombre d’engagés lors de cette édition du Generali Open de France club. Des disciplines comme le tir à l’arc à cheval sont aussi en progression. L’équithlon qui permet de réaliser à plusieurs les différentes épreuves du concours complet qui a bien débuté l’an passé a vu cette année doubler son nombre d’engagés. Cette nouvelle discipline permet une cohésion au sein des clubs en partageant plusieurs tests au sein d’une même équipe."
Pour Frédéric Morand, bien connu des milieux du saut d’obstacles, sa nouvelle fonction de commissaire général du Generali Open de France lui a permis de découvrir de nouvelles disciplines de compétition : "Le tir à l’arc à cheval est une discipline très sympa qui plait aux garçons et qui ne nécessite pas beaucoup de matériel pour un club", remarque-t-il. "En équifeel, série de tests à pied mettant en valeur la relation entre le cavalier et son cheval, ce qui m’a particulièrement frappé, c’est qu’il y avait beaucoup d’enfants parmi les engagés. Cela m’a donné envie de travailler un ou deux poneys afin de proposer cette discipline aux jeunes cavaliers de mon club (le centre équestre de Lège Cap Ferret, NDLR). La configuration du site permet de découvrir un large panel de disciplines, des plus classiques aux plus originales."
"Les clubs qui se sortent mieux de la crise sont ceux ont diversifié leur offre de disciplines équestres, ce qui permet de satisfaire les cavaliers qui recherchent une performance sportive tout en n’étant pas forcement attirés par la vitesse", précise Laurent Gallice, directeur sportif du Generali Open de France. "Bien sûr, le CSO reste la discipline qui attire le plus mais le dressage et le concours complet ont vu augmenter leur nombre d’engagés lors de cette édition du Generali Open de France club. Des disciplines comme le tir à l’arc à cheval sont aussi en progression. L’équithlon qui permet de réaliser à plusieurs les différentes épreuves du concours complet qui a bien débuté l’an passé a vu cette année doubler son nombre d’engagés. Cette nouvelle discipline permet une cohésion au sein des clubs en partageant plusieurs tests au sein d’une même équipe."
Pour Frédéric Morand, bien connu des milieux du saut d’obstacles, sa nouvelle fonction de commissaire général du Generali Open de France lui a permis de découvrir de nouvelles disciplines de compétition : "Le tir à l’arc à cheval est une discipline très sympa qui plait aux garçons et qui ne nécessite pas beaucoup de matériel pour un club", remarque-t-il. "En équifeel, série de tests à pied mettant en valeur la relation entre le cavalier et son cheval, ce qui m’a particulièrement frappé, c’est qu’il y avait beaucoup d’enfants parmi les engagés. Cela m’a donné envie de travailler un ou deux poneys afin de proposer cette discipline aux jeunes cavaliers de mon club (le centre équestre de Lège Cap Ferret, NDLR). La configuration du site permet de découvrir un large panel de disciplines, des plus classiques aux plus originales."
Le Generali Open de France résiste à la crise
Le commissaire général revient ensuite sur l’organisation du Generali Open de France : "Nous n’avons pas rencontré de souci majeur durant ces vingt jours de compétition, ce qui est plutôt positif et prouve que tout va bien aussi bien en ce qui concerne l’organisation que du côté sportif. Nous avons eu de très bons retours de la part des coachs et des participants qui apprécient la convivialité de l’événement. Les différentes animations proposées le soir après les épreuves ont beaucoup plu. La météo un peu capricieuse a été bien gérée, ce qui est un point positif car cela é été moins compliqué que je le pensais."Pour Serge Lecomte, président de la Fédération française d’équitation à l’origine de ce grand rassemblement estival : "Le Generali Open de France continue à se développer de façon satisfaisante, malgré la morosité due à la hausse de la TVA pour les activités équestres et la réforme des rythmes scolaires. La Fédération continuera à faire des efforts pour développer ses projets sportifs."