Au sommaire du numéro de mars de GRANDPRIX

Dans le numéro de mars du magazine GRANDPRIX, retrouvez en couverture Ludger Beerbaum. Toujours performant au plus haut niveau, le Kaiser n’a pas dit son dernier mot ! Le dossier du mois est consacré à la nouvelle économie du monde du cheval. GRANDPRIX est également parti à la rencontre de François Lemière et Clarance Gendron. Les étalons du mois, eux, sont aux nombre de seize.



’’Aucun doute, aucun regret’’, Ludger Beerbaum
Sa veste rouge rangée dans un placard depuis sa victoire en finale mondiale de la Coupe des nations, en septembre dernier à Barcelone, Ludger Beerbaum entame une nouvelle vie bien loin de celle d’un préretraité. Jonglant entre les concours, où il continue à briller, la gestion de ses écuries, les séances de coaching, ou encore ses ambitieux projets en Chine, à cinquante-trois ans, le quadruple champion olympique est presque plus occupé qu’avant ! Dans les allées du Jumping de Bordeaux, début février, le légendaire Allemand a évoqué avec sincérité et sagesse son passé, son présent, son futur, et celui de son sport. Entretien.
 
François Lemière, simplicité, patience et singularité
À vingt-quatre ans, François Lemière affiche une personnalité affirmée, une motivation de fer et une grande simplicité. Engagé en concours complet depuis plus de dix ans, le Provençal gravit les échelons un à un. Auteur d’une année 2016 pleine de rebondissements et de victoires, le jeune espoir entend bien poursuivre son bonhomme de chemin. Portrait.

 
Clarance Gendron met toutes les chances de son côté
À dix-neuf ans, Clarance Gendron est déjà à la tête d’un piquet de onze chevaux, dont Reine des Ponts, avec laquelle elle évolue à 1,45 m. Sous l’œil bienveillant de Clément Boulanger, la jeune Champenoise enchaîne les séances de travail avec pour objectif d’atteindre un jour le plus haut niveau. Grand Prix est allé à sa rencontre à Romagny dans la Manche.
 
Nouvelle économie et développement durable s’invitent dans le monde équestre
L’univers du cheval ne reste pas en marge des mutations engendrées par la révolution numérique dans tout le tissu économique et social des sociétés occidentales. Ces dernières années, il a ainsi connu des changements technologiques majeurs avec l’avènement d’internet et du numérique. Cela touche particulièrement les pratiques de consommation. Si des études indiquent que 70 % de l’activité économique résulte encore de circuits classiques, gages de proximité et de confiance, force est de constater que le secteur équestre n’échappe pas au phénomène d’überisation, autrement dit à l’émergence d’initiatives instaurant de nouvelles relations entre l’offre et la demande. En outre, de plus en plus d’équitants se montrent sensibles aux problématiques de développement durable, exigeant désormais de pouvoir consommer mieux et dans un plus grand respect de l’environnement.
Qui sont les acteurs qui se lancent sur ces nouveaux marchés ? Quels modèles de consommation proposent-ils ? Quels segments sont concernés ? Et pour quelles perspectives ? Grand Prix tente de répondre à ces questions.
 
Des mâles efficaces et bon marché
Alors débute la saison de monte, Grand Prix a opéré une sélection de seize étalons français à orientation saut d’obstacles, disponibles à un budget raisonnable, et dont la production présente déjà quelques sujets bien indicés.
 
  
Et aussi, retrouvez comme chaque mois, les pages Jeunes chevaux, Poneys, vétérinaire...

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