Au sommaire du numéro de décembre/janvier de Grand Prix Magazine
Dans le numéro de décembre/janvier de Grand Prix Magazine, retrouvez en couverture Marcus Ehning. Privé de JO en dernière minute, le centaure garde les pieds sur terre ! Le dossier du mois est consacré à l'élevage de dressage français. Grand Prix Magazine est également parti à la rencontre de de Carl Hester et Sandra Tronchet. L'étalon du mois est Numero Uno.
"Cornado était prêt pour Rio, mais le sport en a décidé autrement...", Marcus Ehning
Surnommé le Centaure pour son équitation quasiment parfaite et sa juste vision du sport, Marcus Ehning a vécu une année 2016 riche en rebondissements. Malgré d’excellents résultats, notamment avec Prêt à Tout, Comme Il Faut 5 et Funky Fred, l’Allemand a dû tirer une trait sur les Jeux olympiques de Rio vingt-quatre heures avant leur top départ, en raison d’une blessure de Cornado NRW. À la tête d’une écurie de rêve, en grand champion, le pilote de quarante-deux ans a rebondi d’une manière incroyable en s’adjugeant les Grands Prix CSI 4* de Münster et CSI 5* de Vienne avant d’offrir la finale mondiale de la Coupe des nations à la Mannschaft, fin septembre à Barcelone, et de se lancer avec un appétit tout aussi féroce en Coupe du monde. À l’occasion d’Equita Lyon, ce grand timide à l’apparence sérieuse et froide s’est confié en toute sincérité à Grand Prix. Entretien.
"Depuis 2012, je perçois tout comme du bonus", Carl Hester
Après avoir décroché la deuxième médaille olympique de sa carrière cet été à Rio, fin octobre, Carl Hester a choisi Lyon et son CDI-W étape de la ligue d’Europe de l’Ouest de la Coupe du monde pour reprendre la compétition avec Nip Tuck. Avec cinq Jeux olympiques, trois Jeux équestres mondiaux, sept championnats d’Europe et une finale de Coupe du monde pour un total de dix médailles internationales glanées en vingt-cinq ans de carrière à haut niveau, le patron du dressage britannique a déjà marqué l’histoire de sa discipline. Son regard sur sa carrière, son avenir de compétiteur, ses ambitions, sa vision du dressage, son travail avec Charlotte Dujardin et le génial Valegro… Sur tous ces sujets, cet éternel jeune homme de quarante-neuf ans s’est confié à Grand Prix.
Sandra Tronchet, sur la route de l'or
Discrétion, concentration et générosité caractérisent la longeuse de deux des quatre champions du monde en titre de voltige, l’équipe Noroc et le Mauricien Lambert Leclézio. Sandra Tronchet suit son petit bonhomme de chemin avec sérénité, sans s’inquiéter de sa destination. Elle gère pour l’instant l’école de voltige du Mans, installée au Pôle européen du cheval.
Dressage : l'élevage français se réveille enfin !
Si le dressage est le fondement de toute équitation, en France, on a longtemps voué à cette discipline olympique «le cheval qui ne saute pas» ou «qui ne court pas». Sous l’impulsion d’une poignée de passionnés, pas nécessairement fortunés, l’élevage français tente aujourd’hui de combler l’énorme retard pris en la matière vis-à-vis de ses concurrents allemands, néerlandais, danois et belges. Face à cette très forte concurrence, et dans une conjoncture délicate, ils aiguisent toujours plus leur sélection au profit de livres de races tricolores ou étrangers, profitant de la libéralisation de l’élevage de chevaux de sport. Pour briller enfin dans cette discipline, et pour que l’offre rencontre d’abord plus aisément les demandes hexagonale et européenne, tous les acteurs de cette filière doivent désormais se fédérer et avancer dans la même direction. C’est justement l’objectif du travail mené par France Dressage, en collaboration étroite avec la Société hippique française et le Stud-book Selle Français. Afin de mieux comprendre leurs besoins et leurs difficultés, Grand Prix a pris le pouls des protagonistes de l’élevage français de chevaux de dressage, est allé à la rencontre de ceux qui s’illustrent le plus souvent sur les rectangles de la Grande Semaine de Saumur, et s’est penché sur les pedigrees de soixante chevaux ayant pris part aux Jeux olympiques de Rio dans cette discipline.
Numero Uno, les prémices d'un succès français ?
Gagnant international, mais jamais au plus haut niveau, Numero Uno a engendré à chaque génération de très bons gagnants internationaux. En France, le gros de sa production est encore très jeune. Cependant, en octobre à Saint-Lô, il a brillé en tant que père du champion des mâles Selle Français de deux ans, Eyecatcher du Borget.
Et aussi, retrouvez comme chaque mois, les pages Jeunes chevaux, Poneys, vétérinaire...
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Surnommé le Centaure pour son équitation quasiment parfaite et sa juste vision du sport, Marcus Ehning a vécu une année 2016 riche en rebondissements. Malgré d’excellents résultats, notamment avec Prêt à Tout, Comme Il Faut 5 et Funky Fred, l’Allemand a dû tirer une trait sur les Jeux olympiques de Rio vingt-quatre heures avant leur top départ, en raison d’une blessure de Cornado NRW. À la tête d’une écurie de rêve, en grand champion, le pilote de quarante-deux ans a rebondi d’une manière incroyable en s’adjugeant les Grands Prix CSI 4* de Münster et CSI 5* de Vienne avant d’offrir la finale mondiale de la Coupe des nations à la Mannschaft, fin septembre à Barcelone, et de se lancer avec un appétit tout aussi féroce en Coupe du monde. À l’occasion d’Equita Lyon, ce grand timide à l’apparence sérieuse et froide s’est confié en toute sincérité à Grand Prix. Entretien.
"Depuis 2012, je perçois tout comme du bonus", Carl Hester
Après avoir décroché la deuxième médaille olympique de sa carrière cet été à Rio, fin octobre, Carl Hester a choisi Lyon et son CDI-W étape de la ligue d’Europe de l’Ouest de la Coupe du monde pour reprendre la compétition avec Nip Tuck. Avec cinq Jeux olympiques, trois Jeux équestres mondiaux, sept championnats d’Europe et une finale de Coupe du monde pour un total de dix médailles internationales glanées en vingt-cinq ans de carrière à haut niveau, le patron du dressage britannique a déjà marqué l’histoire de sa discipline. Son regard sur sa carrière, son avenir de compétiteur, ses ambitions, sa vision du dressage, son travail avec Charlotte Dujardin et le génial Valegro… Sur tous ces sujets, cet éternel jeune homme de quarante-neuf ans s’est confié à Grand Prix.
Sandra Tronchet, sur la route de l'or
Discrétion, concentration et générosité caractérisent la longeuse de deux des quatre champions du monde en titre de voltige, l’équipe Noroc et le Mauricien Lambert Leclézio. Sandra Tronchet suit son petit bonhomme de chemin avec sérénité, sans s’inquiéter de sa destination. Elle gère pour l’instant l’école de voltige du Mans, installée au Pôle européen du cheval.
Dressage : l'élevage français se réveille enfin !
Si le dressage est le fondement de toute équitation, en France, on a longtemps voué à cette discipline olympique «le cheval qui ne saute pas» ou «qui ne court pas». Sous l’impulsion d’une poignée de passionnés, pas nécessairement fortunés, l’élevage français tente aujourd’hui de combler l’énorme retard pris en la matière vis-à-vis de ses concurrents allemands, néerlandais, danois et belges. Face à cette très forte concurrence, et dans une conjoncture délicate, ils aiguisent toujours plus leur sélection au profit de livres de races tricolores ou étrangers, profitant de la libéralisation de l’élevage de chevaux de sport. Pour briller enfin dans cette discipline, et pour que l’offre rencontre d’abord plus aisément les demandes hexagonale et européenne, tous les acteurs de cette filière doivent désormais se fédérer et avancer dans la même direction. C’est justement l’objectif du travail mené par France Dressage, en collaboration étroite avec la Société hippique française et le Stud-book Selle Français. Afin de mieux comprendre leurs besoins et leurs difficultés, Grand Prix a pris le pouls des protagonistes de l’élevage français de chevaux de dressage, est allé à la rencontre de ceux qui s’illustrent le plus souvent sur les rectangles de la Grande Semaine de Saumur, et s’est penché sur les pedigrees de soixante chevaux ayant pris part aux Jeux olympiques de Rio dans cette discipline.
Numero Uno, les prémices d'un succès français ?
Gagnant international, mais jamais au plus haut niveau, Numero Uno a engendré à chaque génération de très bons gagnants internationaux. En France, le gros de sa production est encore très jeune. Cependant, en octobre à Saint-Lô, il a brillé en tant que père du champion des mâles Selle Français de deux ans, Eyecatcher du Borget.
Et aussi, retrouvez comme chaque mois, les pages Jeunes chevaux, Poneys, vétérinaire...
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