Un club chinois labellisé Ecole Française d’Equitation
Suite au partenariat conclu entre la FFE et la fédération chinoise conclu en 2014, un centre équestre chinois, celui de Nanjing Jinling, fondé en 2014 et situé à deux cent kilomètres de Shanghai, a reçu le label Ecole Française d’Equitation le 20 juillet pendant le Generali Open de France Club.
''La labellisation est pour nous une reconnaissance de la qualité de notre club'', se réjouit Ning Lu Xiao, dirigeant du club qui a reçu de Serge Lecomte le panneau de labellisation.
Le dirigeant qui est venu à Lamotte-Beuvron avec une délégation de son pays, dont vingt deux enfants de sept à quatorze ans venus en stage au centre équestre de la Courbette à Boissy-saint-Yon pendant quinze jours, est conscient de la différence en matière de pédagogie équestre entre la France et la Chine : ''La France est très en avance par rapport à la Chine en ce qui concerne les activités équestres'', constate-il. ''Chez nous, il n’y a quasiment pas de cours collectif. Je commence à en mettre en week-end pour les enfants. Nous n’avons pas de manuels de pédagogie équestre et la pédagogie par le jeu à poney n’existe pas. La formation est beaucoup plus structurée en France qu’en Chine mais nous devons mettre cela en place petit à petit. J’espère pouvoir amener dans un avenir proche des cavaliers au Mondial des Clubs.''
Au club de Nanjing Jinling, comme c’est souvent le cas en Chine, les chevaux et poneys d’instruction sont locaux mais les chevaux de concours sont importés d’Europe.
Le dirigeant qui est venu à Lamotte-Beuvron avec une délégation de son pays, dont vingt deux enfants de sept à quatorze ans venus en stage au centre équestre de la Courbette à Boissy-saint-Yon pendant quinze jours, est conscient de la différence en matière de pédagogie équestre entre la France et la Chine : ''La France est très en avance par rapport à la Chine en ce qui concerne les activités équestres'', constate-il. ''Chez nous, il n’y a quasiment pas de cours collectif. Je commence à en mettre en week-end pour les enfants. Nous n’avons pas de manuels de pédagogie équestre et la pédagogie par le jeu à poney n’existe pas. La formation est beaucoup plus structurée en France qu’en Chine mais nous devons mettre cela en place petit à petit. J’espère pouvoir amener dans un avenir proche des cavaliers au Mondial des Clubs.''
Au club de Nanjing Jinling, comme c’est souvent le cas en Chine, les chevaux et poneys d’instruction sont locaux mais les chevaux de concours sont importés d’Europe.