Hélène Vattier, modestie, polyvalence et efficacité

Au fils des ans, Hélène Vattier s’est fait une place de choix dans l’univers plutôt masculin du complet français de haut niveau. Avec Quito de Balière, elle suit les traces, elle suit les traces de sa cadette, Gwendolen Fer, première femme depuis Marie-Christine Duroy de Laurière à monter en équipe de France. Humble et discrète, cette monitrice et instructrice chartraine de quarante-trois ans a de vrais qualités à faire valoir. Rencontre avec une femme de cheval aussi occupée qu’attachante.



Au sud-ouest de l’Île-de-France, l’urbanisation anarchique et compacte laisse place à l’immensité des terres fertiles, de la Beauce. Au milieu des champs de colza, jaunes et flamboyants, se dresse, majestueuse, la cathédrale de Chartres. C’est dans ce cadre bucolique qu’Hélène Vattier a grandi. Monitrice, instructrice et compétitrice de haut niveau, la complétiste vit et travaille aujourd’hui à Fontenay-sur-Eure, à dix kilomètres au sud-ouest du chef-lieu d’Eure-et-Loir.
Rien ne prédestinait cette femme de quarante-trois ans, fille de deux enseignants, à poursuivre une carrière professionnelle dans ce sport. Son destin équestre s’est façonné au club hippique du Carillon, à Luisant, en proche périphérie de Chartre, où elle a débuté l’équitation, s’essayant d’abord au dressage et au saut d’obstacle.

La suite de ce portrait richement illustré dans le numéro de février de Grand Prix Magazine, disponible en kiosques.

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