Nicole Favereau suit sa cure de Gisengue
Dernières arrivées au sein du groupe JO/JEM, Gisengue et Nicole Favereau constituent l'une des révélations de l'année 2015. Après un titre national dans le Critérium Espoir Grand Tour et plusieurs victoires internationales en Medium Tour, le couple a déroulé ses premiers Grand Prix et Grand Prix Spécial lors du CDI 3* NAF organisé parallèlement à la Grande Semaine, mi-septembre à Saumur. Rencontre avec une dresseuse aquitaine qui gagne à être connue.
Cette saison, Ginsengue a fait sensation au point d’intégrer le groupe fédéral JO/JEM, en septembre. La jument de neuf ans de Nicole Favereau porte bien son nom. Comme le ginseng, plante asiatique aux multiples vertus, il a fallu attendre plusieurs années pour qu’elle arrive à maturité et révèle son potentiel. Cette évolution a nécessité beaucoup de soins, mais le produit fini n’en est que plus précieux. Vivace et rare, le ginseng appartient au genre panax, terme grec signifiant remède universel ou panacée. À moins d’un an des Jeux olympiques de Rio, la France compte dans ses rangs un cheval hors du commun qui se prépare à éclore avec l’espoir de défendre haut et fort le drapeau tricolore.
Installée à Lagorce, un village situé à vingt kilomètres au nord de Libourne, et soixante au nord-est de Bordeaux, Nicole gère une écurie de propriétaires pluridisciplinaire avec son mari et sa fille cadette : le saut d’obstacles et le concours complet sont l’affaire de Jean-Marc Favereau, qui a notamment représenté la France en complet à Burghley et aux championnats d’Europe de Punchestown en 1991, tandis que Nicole et Marine Subileau se chargent du dressage. ’’Lara et Marine, mes deux filles nées d’une première union avec Pierre Subileau, sont cavalières de haut niveau et enseignantes titulaires du BEES 2’’, complète la dresseuse. Les vingt-trois boxes de l’écurie Favereau sont occupés par une douzaine de pensionnaires de propriétaires et par des chevaux de commerce et d’élevage. Parce qu’ils sont bien conscients qu’il faut constamment penser à la relève, Nicole et Jean-Marc veillent également sur des poulains qui s’épanouissent en extérieur en attendant de rejoindre l’écurie pour devenir des chevaux de sport. ’’Nous sommes cinq à travailler à temps plein ici. En plus de nous trois, Maxence gère les débourrages et les jeunes chevaux, tandis que Fanny est en préformation DE JEPS.’’
La suite de ce portrait richement illustré est à lire dans le numéro de novembre de Grand Prix Magazine, disponible en kiosques.
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Installée à Lagorce, un village situé à vingt kilomètres au nord de Libourne, et soixante au nord-est de Bordeaux, Nicole gère une écurie de propriétaires pluridisciplinaire avec son mari et sa fille cadette : le saut d’obstacles et le concours complet sont l’affaire de Jean-Marc Favereau, qui a notamment représenté la France en complet à Burghley et aux championnats d’Europe de Punchestown en 1991, tandis que Nicole et Marine Subileau se chargent du dressage. ’’Lara et Marine, mes deux filles nées d’une première union avec Pierre Subileau, sont cavalières de haut niveau et enseignantes titulaires du BEES 2’’, complète la dresseuse. Les vingt-trois boxes de l’écurie Favereau sont occupés par une douzaine de pensionnaires de propriétaires et par des chevaux de commerce et d’élevage. Parce qu’ils sont bien conscients qu’il faut constamment penser à la relève, Nicole et Jean-Marc veillent également sur des poulains qui s’épanouissent en extérieur en attendant de rejoindre l’écurie pour devenir des chevaux de sport. ’’Nous sommes cinq à travailler à temps plein ici. En plus de nous trois, Maxence gère les débourrages et les jeunes chevaux, tandis que Fanny est en préformation DE JEPS.’’
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