Alors que le marché des futurs cracks bat son plein plus que jamais, celui des chevaux intermédiaires sombre dans le marasme. Parallèlement, les importations et exportations explosent. Grand Prix Magazine a interrogé un panel de grands professionnels français dans le milieu du saut d’obstacles, discipline très largement majoritaire dans le commerce, et trois responsables d’instances représentatives de la filière française, afin d’analyser la situation et dégager quelques pistes de développement.

Qui mieux que les commerçants eux-mêmes peut analyser les évolutions de leur métier. Comme l’élevage, leur activité connaît une profonde mutation liée à la conjoncture économique, à des décisions politiques, ainsi qu’à des facteurs culturels. Sans se montrer alarmistes, les professionnels sondés par Grand Prix Magazine avouent désormais privilégier les chevaux à fort potentiel, les clients professionnels et les étrangers.

Pour décrypter plus en détail la conjoncture, Grand Prix Magazine a donné la parole à Philippe Lemaistre, président de la commission commercialisation de la Société hippique française. Depuis 2013, il a initié des ventes amiables, ainsi que la création du site SHF Market, qui constitue la plus large base de données française de chevaux à vendre. En 2015, les ventes du Mans et de Mâcon ont respectivement réuni cent cinq et cinquante-trois chevaux. L’éleveur en dresse le bilan. Éric Giraud, président la chambre syndicale du commerce de chevaux en France, porte quant à lui un regard aiguisé sur les forces et faiblesses du commerce français, alors que Jean-Yves Camenen, directeur de l’UNIC, l’Union nationale interprofessionnelle du cheval s’attaque au bilan de l’état du commerce international. Un marché qui reste actif, notamment grâce à la qualité d’un élevage français mondialement reconnu.

L’intégralité de ce dossier est à retrouver dans le numéro de février de votre magazine, actuellement en kiosques.

 
 
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