'QUATRIÈME DU MONDE, CE N?EST PAS SI MAL !', ROLF-GÖRAN BENGTSSON



Après une quatrième place lors de la finale à quatre durant les Jeux équestres mondiaux à Caen en septembre dernier, Rölf-Goran Bengtsson, cavalier au moral d’acier, a fermement l’intention de repartir de plus belle et vise le titre de champion olympique. Rigoureux et travailleur acharné, le Suédois de cinquante-deux ans, partagé entre son métier de cavalier de haut niveau et son rôle de père de famille impliqué, s’est confié à Grand Prix Magazine sur ses  prochains objectifs et son quotidien actuel. Rencontre avec l’un des meilleurs cavaliers mondiaux.

'Grand Prix : Deux mois plus tard, quel regard portez-vous sur vos championnats du monde ? Qu’allez-vous garder en mémoire ? Êtes-vous capable d’oublier les mauvais moments ?

Rolf Göran-Bengtsson : La vie continue, il faut avancer. Les Jeux ne se sont pas bien terminés pour moi, mais il y a de nouveaux concours qui se passent bien, comme ici à Lyon, et bien d’autres à venir. Quand je me regarde dans le miroir, je me dis que terminer quatrième meilleur cavalier du monde, ce n’est pas mal quand même (rires) ! Mon cheval a très bien sauté toute la semaine. Le dimanche, j’ai manqué de réussite, et sans doute un peu de chance.

G.P.: Avant cette finale à quatre, tout a été presque parfait, si ce n’est votre franche faute dans la deuxième manche de la demi-finale individuelle…

R.-G.B.: Oui, je ne peux d’ailleurs pas vraiment expliquer ce qui s’est passé. C’était une faute assez lourde. Bien-sûr, c’est un peu stressant, d’autant plus quand on n’en a pas encore commis une seule dans toute la compétition ! Je savais que j’avais droit à une faute pour rester dans le top quatre, mais pas plus. Ce parcours a été long…'

Margaux Rivière 


Retrouvez l’intégralité de l’interview dans le dernier numéro de Grand Prix Magazine, disponible dans vos kiosques et sur internet.



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