'JE TRAVAILLE AUTANT QUE LES AUTRES', JULIEN EPAILLARD



Ce mois-ci dans Grand Prix Magazine, le cavalier de saut d?obstacles [Julien Epaillard] s?est prêté au jeu des questions-réponses. Il est souvent décrit comme doué, bien marié mais pas assez travailleur. Pourtant, à bien regarder Julien Épaillard, sans se perdre dans ses grands yeux bleus, la caricature semble plutôt réductrice. Habile commerçant, le Cherbourgeois d?origine, installé au haras de la Bosquetterie, au Pré-d?Auge, avec sa femme Susana et Rutherford Latham, assume son itinéraire et défend ses choix. Après avoir bien débuté la saison 2014 en remportant plusieurs épreuves notamment lors des CSI 5* de Hong Kong et Paris, il revient sur son parcours et également sur son année 2013.


'Grand Prix : Quel bilan sportif dressez- vous de votre saison 2013 ? Julien Épaillard :
J?ai vécu une année en dents de scie. Qarat de la Loge (Dollar du Mûrier x Joyau d?Or, propre frère d?Idéal de la Loge) et Cristallo A*LM (Holst, Casall x Corofino) ont passé le cap des Grands Prix CSI 3* et 4*, mais ne sont pas encore assez endurcis. Mon programme n?était peut-être pas assez adapté à des chevaux de neuf ans. Au total, j?ai cumulé deux cents mille euros dans l?année. Rien d?extraordinaire. J?ai également encaissé une bonne descente au classement mondial (soixante-septième en février, ndlr), ce qui me ferme les portes du Global Champions Tour, alors qu?elles m?étaient ouvertes depuis longtemps.'


L?interview est à lire en intégralité dans le numéro de mars de Grand Prix Magazine, disponible en kiosques et via notre plate-forme de vente en ligne. Bonne lecture !


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