’’Je nous vois sur le podium uniquement si les autres font de mauvaises courses’’, Bénédicte Émond-Bon
Demain, Samorin, en Slovaquie, va accueillir les championnats du monde d’endurance, qui se couront sur une course de 160km. Pour l’occasion, Jean-Philippe Francès, Julien Goachet, Julien Lafaure, Allan Léon et Laetitia Goncalves représenteront la France et auront à cœur d’accrocher une ou plusieurs médailles. Arrivée à Samorin il y a quelques jours, Bénédicte Émond-Bon, sélectionneuse nationale, fait le point sur ses objectifs et sur ce qui attend ses troupes.
GrandPrix-Replay : Que pensez-vous du parcours de ces championnats du monde ? Est-il semblable à celui des championnats d’Europe de l’an passé ?
Bénédicte Émond-Bon: Le parcours se situe le long du Danube. Sans surprise, il est plat et sans dénivelés. C’est un tracé qui est plus ciblé pour les pays du Golfe. Pour les championnats d’Europe, il y avait beaucoup plus de montagnes, ce qui avait permis de ralentir un peu l’allure et cela donnait un peu plus d’importance aux qualités des cavaliers. Ici le tracé est beaucoup moins intéressant.
GPR : D’après vous, les couples tricolores ont- ils des chances de s’imposer ?
B. É.-B. : Non pas vraiment… Ils vont faire un travail le plus propre possible. S’ils font une belle course, ça sera déjà bien. Que ce soit en individuel ou par équipes, je nous vois sur le podium uniquement si les autres font de mauvaise courses. Si nous avons des médailles, ça sera la cerise sur le gâteau !
GPR : Quel est le programme en attendant la course de demain ?
B. É.-B. : Comme d’habitude lors d’un championnat, nous allons sortir les chevaux et les trotter le matin. Dans la journée, nous avons plusieurs briefings avec les vétérinaires et les chefs d’équipes. La cérémonie d’ouverture est prévue pour cet après-midi.
Bénédicte Émond-Bon: Le parcours se situe le long du Danube. Sans surprise, il est plat et sans dénivelés. C’est un tracé qui est plus ciblé pour les pays du Golfe. Pour les championnats d’Europe, il y avait beaucoup plus de montagnes, ce qui avait permis de ralentir un peu l’allure et cela donnait un peu plus d’importance aux qualités des cavaliers. Ici le tracé est beaucoup moins intéressant.
GPR : D’après vous, les couples tricolores ont- ils des chances de s’imposer ?
B. É.-B. : Non pas vraiment… Ils vont faire un travail le plus propre possible. S’ils font une belle course, ça sera déjà bien. Que ce soit en individuel ou par équipes, je nous vois sur le podium uniquement si les autres font de mauvaise courses. Si nous avons des médailles, ça sera la cerise sur le gâteau !
GPR : Quel est le programme en attendant la course de demain ?
B. É.-B. : Comme d’habitude lors d’un championnat, nous allons sortir les chevaux et les trotter le matin. Dans la journée, nous avons plusieurs briefings avec les vétérinaires et les chefs d’équipes. La cérémonie d’ouverture est prévue pour cet après-midi.