“J’étais convaincu que Thierry Rozier avait sa place dans l’équipe”, Thierry Pomel
Voici la réaction du chef d’équipe français Thierry Pomel à l’issue de la Coupe des nations Longines de La Baule, que la France a conclu à la troisième place :
“Je suis très satisfait aujourd’hui. Du résultat d’une part, mais aussi et surtout de la façon dont les cavaliers ont géré cette Coupe des nations. Ce n’est jamais facile d’amorcer la saison devant notre public, cela amène beaucoup de pression. Les cavaliers ont toutefois de l’expérience, et ils ont prouvé aujourd’hui qu’ils avaient les nerfs solides et qu’ils avaient à cœur de bien faire. Le cheval d’Alexis Deroubaix (Timon d’Aure, propriété de la famille Chenu, ndlr) a été assez inquiet. Nous savons qu’il est très sensible, et je pense qu’il a besoin de concourir davantage pour se relâcher. Ils n’ont commis qu’une faute lors de chaque manche, ce qui n’est pas vraiment une catastrophe. D’ordinaire, je commence à être alarmé lorsqu’un cheval sort de piste avec huit points. Quatre points, c’est un sans-faute raté ! Nous ne sommes qu’en début de saison, et ce cheval a eu une bonne pause. Cela devrait le faire pour la suite.
Je vois Thierry (Rozier, auteur d’un double sans faute avec Venezia d’Écaussinnes, ndlr) travailler presque quotidiennement car nous sommes presque voisins et que je me rends souvent dans ses installations. J’étais convaincu qu’il avait sa place dans l’équipe, et je lui en ai d’ailleurs parlé dès le mois de janvier. Je l’ai vu se préparer tout ce temps, et il a vraiment fait du super travail. Je suis très fier de lui et sa jument !
J’avais déjà officié comme chef d’équipe (en suppléant Philippe Guerdat, ndlr) lors de Coupes des nations, comme à Calgary par exemple, mais il s’agissait aujourd’hui de la première fois que j’endossais ce rôle en France. Il est vrai que cela a une saveur différente et que nous avons une pression supplémentaire devant notre public.”
Je vois Thierry (Rozier, auteur d’un double sans faute avec Venezia d’Écaussinnes, ndlr) travailler presque quotidiennement car nous sommes presque voisins et que je me rends souvent dans ses installations. J’étais convaincu qu’il avait sa place dans l’équipe, et je lui en ai d’ailleurs parlé dès le mois de janvier. Je l’ai vu se préparer tout ce temps, et il a vraiment fait du super travail. Je suis très fier de lui et sa jument !
J’avais déjà officié comme chef d’équipe (en suppléant Philippe Guerdat, ndlr) lors de Coupes des nations, comme à Calgary par exemple, mais il s’agissait aujourd’hui de la première fois que j’endossais ce rôle en France. Il est vrai que cela a une saveur différente et que nous avons une pression supplémentaire devant notre public.”