“Montrer à la nouvelle équipe fédérale que j’ai ma place dans les grands rendez-vous”, Olivier Robert
Dans une quinzaine de jours, Olivier Robert prendra le départ de sa deuxième finale de la Coupe du monde Longines, à Göteborg. Déterminé à bien y figurer avec le bondissant Tempo de Paban et peut-être Eros pour la Chasse, l’Aquitain s’est confié sur sa préparation.
Que représente pour vous cette finale de Coupe du monde Longines ?
La finale du circuit de la Coupe du monde était vraiment l’objectif de cette saison pour Tempo de Paban. Il est très solide. Il y a deux ans, je montais Quenelle du Py, et nous avions couru après la qualification jusqu’à la dernière étape (Olivier Robert l’avait notamment évoqué dans la vidéo “Chère Quenelle”, ndlr). La jument était arrivée un peu fatiguée à la finale. Cette année, mon cheval Tempo de Paban a pu bien se reposer depuis que nous avons décroché notre place en finale. Il a repris la compétition début mars et il est en pleine forme.
Quels sont vos objectifs pour cette finale ?
Mon objectif est élevé pour cette finale. Le cheval a couru six étapes cette saison, dont cinq où il est sans-faute. Toutes les conditions sont réunies pour bien figurer au classement final.
Comment abordez-vous cette échéance ?
J’avais un peu décroché depuis la qualification fin janvier. Maintenant que Tempo de Paban est de retour à mes côtés sur les pistes de compétition et que l’échéance se rapproche, ma motivation est à son maximum. Depuis quelques mois, je suis accompagné par un préparateur mental. La pression est grande bien sûr, mais la motivation est encore plus grande. En 2018, je n’ai pas pu aller aux championnats du monde, j’ai aussi envie de montrer à la nouvelle équipe fédérale que j’ai ma place dans les grands rendez-vous. Cette fois, je vais concourir à titre individuel, mais je suis également très motivé à l’idée de faire partie de l’équipe de France.
La finale du circuit de la Coupe du monde était vraiment l’objectif de cette saison pour Tempo de Paban. Il est très solide. Il y a deux ans, je montais Quenelle du Py, et nous avions couru après la qualification jusqu’à la dernière étape (Olivier Robert l’avait notamment évoqué dans la vidéo “Chère Quenelle”, ndlr). La jument était arrivée un peu fatiguée à la finale. Cette année, mon cheval Tempo de Paban a pu bien se reposer depuis que nous avons décroché notre place en finale. Il a repris la compétition début mars et il est en pleine forme.
Quels sont vos objectifs pour cette finale ?
Mon objectif est élevé pour cette finale. Le cheval a couru six étapes cette saison, dont cinq où il est sans-faute. Toutes les conditions sont réunies pour bien figurer au classement final.
Comment abordez-vous cette échéance ?
J’avais un peu décroché depuis la qualification fin janvier. Maintenant que Tempo de Paban est de retour à mes côtés sur les pistes de compétition et que l’échéance se rapproche, ma motivation est à son maximum. Depuis quelques mois, je suis accompagné par un préparateur mental. La pression est grande bien sûr, mais la motivation est encore plus grande. En 2018, je n’ai pas pu aller aux championnats du monde, j’ai aussi envie de montrer à la nouvelle équipe fédérale que j’ai ma place dans les grands rendez-vous. Cette fois, je vais concourir à titre individuel, mais je suis également très motivé à l’idée de faire partie de l’équipe de France.