Potter du Manaou, un prince de sang mêlé
S’il n’a pas connu la carrière sportive de son illustre père Ryon d’Anzex, qui avait permis de révéler le Breton Bruno Rocuet au plus haut niveau, Potter du Manaou a démontré très tôt toute l’étendue de son talent. Grâce à la passion de la famille Saramon, et malgré d’affolantes propositions d’achat émanant de l’étranger, Potter du Manaou est resté en France. Un temps boudé par les éleveurs, l’étalon alezan brûlé doit son salut à l’acharnement d’une poignée de mordus de la race Anglo-Arabe, qui avaient décelé bien avant tout le monde le potentiel de ce reproducteur.