Un sport féminin partout… sauf en France? (1/2)

Dominé par des cavalières jusqu’au plus haut niveau, certes un peu moins que le dressage, le concours complet peut être qualifié de sport de filles. C’est particulièrement vrai en Grande-Bretagne, nation reine de la discipline où vivent et s’épanouissent également la plupart des champions issus du Commonwealth, mais aussi en Amérique du Nord. En Europe continentale aussi, la féminisation de l’élite va galopante. Sauf en France?



S’il est bien quelque chose dont les cavaliers et passionnés d’équitation peuvent être fiers, c’est de la mixité. Et, une fois en piste, de l’égalité des chances entre hommes et femmes. Plus nombreuses sur les terrains de concours, tous niveaux confondus, celles-ci dominent davantage chaque année les palmarès des grands rendez-vous. Ainsi, les récipiendaires des médailles d’or individuelles des derniers championnats d’Europe, Jeux équestres mondiaux et Jeux olympiques étaient des femmes: les Anglaises Nicola Wilson et Rosalind Canter et l’Allemande Julia Krajewski. Quant aux équipes sacrées, toutes britanniques (!), elles comptaient quatre cavaliè...

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