“Fontainebleau, c’est un peu comme le baccalauréat: vous l’avez, on vous dit que c’est normal, et vous n’êtes pas qualifié, c’est un handicap”, Alain Fortin (2/2)
Longtemps considérée comme le Saint-Graal de tout bon formateur de jeunes chevaux professionnel qui se respecte, l’accession à la Grande Semaine de Fontainebleau cache souvent une montagne de travail de formation, préparation et réglages, pour parfois repartir bredouille. L’énorme investissement consenti à la fois par les cavaliers et les propriétaires en vaut-il vraiment la chandelle ? Existe-t-il un modèle économique qui permette à un cavalier de jeunes chevaux d’être rentable? GRANDPRIX heroes a posé la question à plusieurs d’entre eux et le constat est sans appel.