"On me regardait bizarrement et on me disait que cela ne fonctionnerait jamais”, Thomas Ponthieu (2/2)
Le nom de la famille Ponthieu résonne depuis trois générations dans l’Aisne et les Hauts-de-France. Implanté dans le Saint-Quentinois, Thomas Ponthieu revient sur l’évolution de sa carrière, de son succès au championnat de France de saut d’obstacles en 1998 en passant par son élevage, fondé jadis par son père Thierry, ses différentes structures et l’activité dans laquelle il excelle aujourd’hui: le commerce de chevaux.
La première partie de cet article a été publiée hier.Au cours de cette période, où les résultats s’accumulent, Thomas Ponthieu est régulièrement sollicité pour vendre ses produits. “En 2017, en raison d’une forte demande de clients, j’ai décidé de m’orienter davantage vers l’élevage et le commerce. De trois poulinières, l’élevage de Courcel est passé à douze, avec des juments de l’élevage et le renfort de quelques autres nouvelles venues, sélectionnées pour leurs origines”, confie le principal intéressé. Nevilla S (SP, Leoville x Calvados Z) intègre, parmi d’autres, le tro...