Après une sortie de crise sanitaire réussie, les clubs doivent composer avec un climat incertain
En 2020, la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19 a provoqué une récession économique historique en France, comme dans tant d’autres pays. De nombreuses branches de l’économie ont été perturbées, dont la filière équine. Pour autant, la mise en place des confinements par le gouvernement français a profondément modifié les habitudes des Français, favorisant les activités de plein air. Si la Fédération Française d’équitation a vu ses efforts de promotion récompensés d’une hausse continue du nombre de licenciés, certaines tendances ont été bouleversées, notamment lors des vacances scolaires. Aujourd’hui, les poneys-clubs et centre équestres subissent la hausse des prix des équidés d’instruction et font face à une pénurie de main-d’œuvre laissant planer une incertitude pour l’avenir. Julien Pelletier, vice-président de la Fédération française d’équitation en charge des clubs et six gérantes d’écuries ont accepté de partager leurs expériences.