“J’essaie vraiment de me concentrer sur mes chevaux et de prendre le meilleur de la technique de chacun”, Dinja van Liere (2/2)
En devenant, l’été dernier à Herning, la première Néerlandaise à remporter une médaille individuelle lors d’un grand championnat de dressage depuis Hans-Peter Minderhoud en 2015, Dinja van Liere a acquis le statut de nouvelle cheffe de file batave de sa discipline. Celle qui a décroché ses plus beaux succès avec le flamboyant Hermès a connu une ascension extrêmement rapide vers les podiums des Mondiaux, et son mental de compétitrice n’y est sans doute pas pour rien. S’entraînant avec une coach issue du monde de l’équitation western, la cavalière de trente-deux ans a atteint un niveau que la petite fille passionnée par les animaux qu’elle était n’espérait même pas approcher un jour.
La première partie de ce portrait est à retrouver iciDinja van Liere étant la première Néerlandaise à décrocher des médailles individuelles dans un grand championnat depuis Hans-Peter Minderhoud en 2015, et seulement la deuxième depuis les nombreux succès engrangés par Adelinde Cornelissen entre 2009 et 2014, il est tentant de la considérer comme la digne héritière des grands noms de l’équitation batave, dont Edward Gal ou encore Anky van Grunsven font partie. Et si la façon dont la double médaillée de bronze des derniers Mondiaux monte ses reprises peut parfois rappeler les performances de certains de ses illustres prédécesseurs, “elle don...