“Certains disent que mon père travaille et voyage trop, mais il faut le laisser vivre comme il l’entend”, Steve Guerdat (3/3)

Passer une heure avec Steve Guerdat est un privilège. Le Suisse n’est pas inaccessible, mais ses journées sont bien remplies, qui plus est en fin de printemps, quand s’enchaînent les CSIO qu’il affectionne tant. Il a choisi celui de La Baule, désormais planifié en juin, pour se poser un moment, parler un peu de lui, de ses chevaux, de son système, de son sport et de sa famille. Passer une heure avec Steve Guerdat permet d’estimer la dévotion d’un homme pour une pratique qui rythme toute son existence, de mesurer la force des convictions invariables qui l’animent, mais aussi de percevoir la douceur attendrissante d’un époux et d’un père comblé. À quarante et un ans, le Jurassien commence à envisager les moyens de se préserver. Une excellente nouvelle pour ses fans, qui devraient pouvoir l’admirer encore longtemps en piste.



La première partie de cet entretien est à lire iciLa deuxième partie de cet entretien est à lire iciLes départs d’Alain Jufer, fin 2022, pour vos anciennes écuries, et d’Anthony Bourquard ont-ils été compensés? Qui travaille désormais à vos côtés? Alain œuvrait indépendamment avec ses propres chevaux, et Anthony était mon employé. Quand ils sont partis, je me suis dit que cela me donnerait un peu d’air en termes de gestion, parce que nous hébergions une cinquantaine de chevaux sur place depuis trois ans. J’ai essayé de m’en tenir à trente pour avoir davantage de temps et moins de stress, mais cela n’a pas produit ...

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