De Sandillon à Saint-Hélen, le petit Nicolas Layec est devenu grand (2/2)

À Fontainebleau, en septembre 2022, l’écurie de Bruno Rocuet rafle deux titres nationaux à la Grande Semaine dans les catégories réservées aux chevaux de cinq et six ans. Aux rênes des deux protégés du Breton, Hatlantika et Ghana du Gast, un certain Nicolas Layec. Inconnu de la majeure partie du public, le discret jeune homme éclabousse le Grand Parquet de son talent. Depuis, il poursuit sa route en tutoyant les belles épreuves, dont il sort régulièrement avec des classements prometteurs. Portrait d’une étoile montante, que certains qualifient même de “mini Marcus Ehning”.



UNE TÊTE ET DES JAMBES

La première partie de cet entretien est à (re)lire iciMême si ses parents élevaient, sous l’affixe d’Orion, Nicolas Layec n’était pas forcément prédestiné à devenir l’un des espoirs du saut d’obstacles tricolore. Passionné de chevaux certes, il a suivi dans un premier temps des études d’électro-technique. “Aller à l’école constituait un devoir”, avoue l’intéressé. “J’ai choisi ce domaine en attendant de trouver ma voie dans le monde du cheval.” Faute de parvenir à lier les deux univers, il a sauté le pas en franchissant la porte de l’écurie Pierre Defrance, le tout avec le...

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX ABONNÉS

Abonnez-vous pour 6,99€ par mois sans engagement
  • Accédez à tous les contenus payants de GRANDPRIX.info en illimité
  • Soutenez une équipe de journalistes passionnés et une rédaction indépendante

Nouveau chez GRANDPRIX ? Créez votre compte GRANDPRIX

Mot de passe perdu ? Réinitialiser mon mot de passe