Pieter Devos et Apart, maîtres du temps dans la Coupe du monde Longines de Stuttgart
Le Belge Pieter Devos a remporté le Grand Prix Coupe du monde Longines de Stuttgart, ce dimanche après-midi, aux rênes de son alezan, Apart, coiffant au poteau l'Autrichien Max Kuehner dans un barrage fascinant à dix couples. Les trois paires françaises au départ n'ont pas su tirer leur épingle du jeu.
Ils étaient quarante au départ du Grand Prix Coupe du monde qui s'est tenu à Stuttgart, en Allemagne, ce dimanche après-midi. Et le parcours, coté à 1,60m, ne leur a pas fait de cadeau, notamment en termes de temps accordé.
Les trois Français qui avaient fait le déplacement, et qui ont fini la compétition en bas du classement. Pénélope Leprévost, associée à Vancouver de Lanlore, est celle qui s'en sort le mieux, vingt-neuvième avec un total de 9 points. Simon Delestre, aux rênes d'Ulane Belmanière, et Olivier Robert, avec Tempo de Paban, franchissent tous deux la ligne d'arrivée avec 13 points au compteur et pointent respectivement aux trente-deuxième et trente-troisième place.
Beau ratio pour la chef de piste, Christa Jung, qui a dessiné un parcours plein de rebondissements : seuls dix cavaliers ont réussi à boucler un tour sans faute et accéder ainsi au barrage. L'obstacle numéro 3, un grand mur de couleur bleu, avait déjà causé quelques dégâts en première manche avec deux éliminations et plusieurs refus. En éclaireur, l'Allemand Christian Kukuk en a fait les frais, alors que son fils de Cornet Obolensky, Colestus, s'est arrêté devant à la suite d'un virage assez mal négocié. L'Allemand Maurice Tebbel, aux rênes de Don Diarado, et la Suéoise Stephanie Holmén, en selle sur Flip's Little Sparrow, se feront tous deux surprendre et sortiront de piste avec 4 points, avant l'entrée de Max Kühner sur PSG Final.
Les trois Français qui avaient fait le déplacement, et qui ont fini la compétition en bas du classement. Pénélope Leprévost, associée à Vancouver de Lanlore, est celle qui s'en sort le mieux, vingt-neuvième avec un total de 9 points. Simon Delestre, aux rênes d'Ulane Belmanière, et Olivier Robert, avec Tempo de Paban, franchissent tous deux la ligne d'arrivée avec 13 points au compteur et pointent respectivement aux trente-deuxième et trente-troisième place.
Beau ratio pour la chef de piste, Christa Jung, qui a dessiné un parcours plein de rebondissements : seuls dix cavaliers ont réussi à boucler un tour sans faute et accéder ainsi au barrage. L'obstacle numéro 3, un grand mur de couleur bleu, avait déjà causé quelques dégâts en première manche avec deux éliminations et plusieurs refus. En éclaireur, l'Allemand Christian Kukuk en a fait les frais, alors que son fils de Cornet Obolensky, Colestus, s'est arrêté devant à la suite d'un virage assez mal négocié. L'Allemand Maurice Tebbel, aux rênes de Don Diarado, et la Suéoise Stephanie Holmén, en selle sur Flip's Little Sparrow, se feront tous deux surprendre et sortiront de piste avec 4 points, avant l'entrée de Max Kühner sur PSG Final.
Sept secondes bien anticipées
Celui-ci n'a voulu prendre aucun risque avec son prometteur hongre de 8 ans. Il signe le premier double sans-faute de l'épreuve, mais son chronomètre de 56'62 ne lui garantit pas la victoire, alors qu'il reste encore six couples à s'élancer. Après lui, la Selle français Asathir, sous la selle de l'Allemand Philipp Weishaupt, fait tomber une brique du mur, tandis que H&M Legend of Love, montée par le Belge Olivier Philippaerts, renverse une barre sur l'avant-dernier obstacle. Le Suisse Steve Guerdat est également l'auteur d'une faute avec son KWPN Alamo, dès le deuxième effort. Il faut attendre l'arrivée de Christian Ahlmann pour voir à nouveau un parcours sans faute. L'Allemand, qui présentait son peu expérimenté Selle français de 11 ans, Tokyo, a pris le parti de monter tranquillement... si tranquillement qu'il laisse encore l'avantage à l'Autrichien, alors qu'il affiche un chronomètre de 57'68.
"Je savais que je pouvais être plus rapide de six ou sept secondes, tout en sachant que si je faisais une faute, je perdais la partie. Je savais qu'il fallait que je garde la tête froide et que je reste concentré", analysait Pieter Devos après sa victoire. Le Belge avait vu juste : il a franchi la ligne d'arrivée en 49'05, soit sept secondes de moins que son premier concurrent. Grâce à sa victoire, il se hisse à la deuxième place du classement de la Ligue d'Europe occidentale, avec 39 points, derrière Steve Guerdat (41 points). Presque qualifié pour la finale d'avril, à Göteborg en Suède, le héros du jour compte tout de même se présenter à l'étape de Madrid, le week-end prochain, puis à Malines, en Belgique, en décembre. "Après cela, je ferai un plan pour la deuxième moitié de saison."
Tous les résultats ici.
"Je savais que je pouvais être plus rapide de six ou sept secondes, tout en sachant que si je faisais une faute, je perdais la partie. Je savais qu'il fallait que je garde la tête froide et que je reste concentré", analysait Pieter Devos après sa victoire. Le Belge avait vu juste : il a franchi la ligne d'arrivée en 49'05, soit sept secondes de moins que son premier concurrent. Grâce à sa victoire, il se hisse à la deuxième place du classement de la Ligue d'Europe occidentale, avec 39 points, derrière Steve Guerdat (41 points). Presque qualifié pour la finale d'avril, à Göteborg en Suède, le héros du jour compte tout de même se présenter à l'étape de Madrid, le week-end prochain, puis à Malines, en Belgique, en décembre. "Après cela, je ferai un plan pour la deuxième moitié de saison."
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