“Je suis militante, mais absolument pas politique”, Beatriz Ferrer-Salat (2/2)

Beatriz Ferrer-Salat est discrète mais omniprésente dans l’univers du dressage depuis plusieurs décennies maintenant. Multiple championne d’Espagne, vice-championne du monde en individuel à Jerez de la Frontera en 2002, médaillée d’argent par équipes aux Jeux olympiques d’Athènes en 2004, ainsi que de bronze en individuel, de même qu’aux championnats d’Europe d’Aix-la-Chapelle en 2015, l’Espagnole poursuit aujourd’hui sa carrière avec Elegance, son nouveau cheval de tête. Se décrivant elle-même comme une militante pour le bien-être animal, l’Espagnole de cinquante-sept ans mène sa barque avec la même philosophie, qu’elle a acceptée d’évoquer en toute simplicité.



La première partie de cet entretien est disponible ici.Vous êtes aussi une coach de renom en Espagne! Combien de cavaliers formez-vous actuellement? En tout, j’entraîne cinq cavalières, dont deux qui évoluent en compétition. Je préfère collaborer avec un nombre restreint de personnes afin d’avoir le temps nécessaire pour chacune d’elles. Je leur transmets des conseils, mais elles n’ont pas nécessairement vocation à devenir toutes cavalières professionnelles. Je n’exporte d’ailleurs pas tellement ma philosophie, car je ne propose pas de stage à l’étranger, d’autant que je travaille uniquement avec des Espagnols… En fait, je suis tr&egrav...

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